1. Miss Kellington


    Datte: 26/07/2019, Catégories: ffh, Collègues / Travail vacances, train, toilettes, fsoumise, fdomine, fouetfesse,

    ... mal. Pas dans le genre caricatural des films pornos, non, c’était autre chose. Une sévérité naturelle, un charme discret mais vivace. Elle avait les traits assez tirés, des yeux bleus froids et, le comble, tenait un parapluie (oui, la capitale anglaise est souvent sous la pluie, ce n’est pas un cliché !) qu’elle caressait de manière troublante en regardant Taha. Je ressentis une attirance forte pour cette femme. Pas le même type d’attirance que j’avais eue pour Taha, cependant. C’était différent, difficile à décrire. L’allocution de Taha se termina et l’on nous invita à rejoindre un buffet organisé pour l’occasion. C’était une première prise de contact entre nous et les fonctionnaires anglais. Une série de visites et de réunions était planifiée pour le reste de la semaine, mais nous étions libres le soir et le lendemain afin de nous laisser le temps de voir les monuments et les animations qu’offrait la capitale anglaise. Il aurait été idiot de partir sans avoir entendu Big Ben sonner, les scarabées qui bourdonnent ou la folie à London. Nous échangeâmes des banalités avec nos collègues autour de quelques toasts puis on nous emmena à notre hôtel, à quelques minutes de là, dans le quartier de Camden. Notre hôtel était bien situé et nous envisagions déjà les sorties du soir… London calling ! Nous disposions de chambres individuelles relativement confortables ; notre délégation comprenant une dizaine de personnes, nous étions tous logés au même étage (et à la même enseigne !) et ...
    ... le remplissions presque intégralement. La chambre de Taha était à deux portes de la mienne et je me réjouissais déjà des nuits torrides qui nous attendaient. Je m’imaginais faire monter du champagne dans la chambre, aux frais de la princesse, et essayer de convaincre Taha d’accepter une légère redistribution des rôles ! J’ai vite déchanté lorsque l’on m’a indiqué que non, il n’était pas possible de commander quoi que ce soit sur le compte de l’administration, mais que oui, je pouvais commander personnellement pour la modique somme de 350 livres une bouteille de champagne. L’hôtesse d’accueil m’indiqua avec un clin d’œil que la discrétion était assurée. À ce tarif-là, tu m’étonnes ! J’oubliai vite cette idée mais pensais toujours rejoindre Taha dans la nuit. Je n’eus pas l’occasion d’en prendre l’initiative cependant, car c’est Taha qui vint frapper à ma porte peu avant l’heure du dîner. — Bonsoir, John ; ce soir, nous ne dînons pas à l’hôtel, mais nous allons dans la campagne anglaise.— Les collègues vont être déçus ! Eux qui envisageaient de faire la fête partout dans Londres ! Mais d’accord, très bien.— Il ne s’agit pas des collègues, mais de vous et moi. Les choses commençaient à devenir intéressantes : qu’est-ce qu’elle manigançait ? — Soyez prêt à 19 h. Prenez la porte de derrière de l’hôtel et attendez-moi.— Bien. Il était 19 h 05 quand Taha me rejoignit. Elle était maquillée (généralement, elle ne mettait que quelques touches de maquillage lorsqu’on était au boulot) et ...