1. Miss Kellington


    Datte: 26/07/2019, Catégories: ffh, Collègues / Travail vacances, train, toilettes, fsoumise, fdomine, fouetfesse,

    ... habillée sublimement. Elle m’attrapa par la main (un geste affectueux si rare de sa part) et m’entraîna vers une grosse bagnole de type berline allemande. Nous nous installâmes à l’arrière. Le chauffeur nous toisa du regard ; il me regarda assez longuement avec l’air suspicieux mais se contenta de nous demander si nous étions prêts. Taha répondit par l’affirmative et le chauffeur démarra. À ce stade, je n’avais aucune idée de ce que Taha envisageait pour ce soir, mais j’avais en tête la perspective d’aventures sympas ! De toute façon, j’étais là, dans cette voiture ; alors, à quoi bon se triturer la tête ? Je saurais bien assez tôt ce qu’elle me réservait ! Nous roulâmes pendant presqu’une heure à grande vitesse et nous arrivâmes dans un village charmant, avec de belles maisons de pierre ; nous nous arrêtâmes devant un magnifique manoir. Je ne savais toujours pas ce qu’on faisait là ; Taha et moi n’avions échangé aucun mot durant le voyage. J’avais péniblement essayé de comprendre ce qui devait être la BBC dans la voiture, et Taha était restée en permanence avec son téléphone. C’était volontaire de sa part : mon ignorance de la situation devait contribuer à cette mise en scène… Miss Kellington ! Mais bien sûr. Celle qui regardait Taha avec tant d’avidité. Je les avais vues lors du cocktail discuter longuement. Ce ne devait sûrement pas être professionnel ! Nous fûmes reçus par un majordome qui semblait tout droit sorti d’un film des années 1930 et qui nous indiqua que miss ...
    ... Kellington nous attendait dans le salon principal. Elle était assise devant une magnifique cheminée, en train de siroter un Martini. Elle portait un leggins très fin, qui faisait ressortir ses formes. Elle était encore mieux faite que je ne le pensais. Le salon était très beau, l’architecture ancienne mais le mobilier moderne. Un grand canapé en cuir, un beau tapis « tête de tigre », un écran de télévision moderne. Ce mélange de modernité et d’ancienneté donnait un ton très particulier à l’ensemble. Miss Kellington nous regarda et demanda à Taha : — It’s him ?— Yes.— Let’s play, then. Mon anglais datant du lycée me permit de comprendre ces quelques mots. Mais je crois que même sans, j’aurais compris de quoi il s’agissait. Miss Kellington ouvrit une malle proche de la cheminée qui contenait toutes sortes d’objet sexuels : des godes, des menottes, une cravache, des pinces et d’autres objets dont je n’osais imaginer l’utilité. Taha était dans une position dans laquelle je ne l’avais pas encore vue. La tête penchée, les yeux baissés, les mains derrière le dos. Je ne savais trop quoi faire ! Elle était soumise, soumise à Miss Kellington ! Je me mis à adopter la même position, par mutisme sans doute. Miss Kellington approcha de moi, doucement, tel un félin, avec sa cravache dans la main. Elle caressa mon sexe avec sa cravache. Il commençait à former une bosse derrière mon jean. — Come on, John ; ne vous laissez pas impressionner : c’est cette chienne qui doit être dressée !— Don’t ...