1. Juste une graine


    Datte: 26/07/2019, Catégories: f, ff, jeunes, fépilée, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... ordres passent direct dans les muscles sans passer par la case cerveau. Je crois que mon manteau s’écarte quelques instants mais Valérie a déjà jeté son blouson sur mes cuisses. Elle me regarde ; elle a l’air… émerveillé. — Ben ma cochonne ! me dit-elle à voix basse. Je savais pas que tu jouais à ça. À voix encore plus basse, elle ajoute : — Toi aussi. Elle reprend : — T’aurais pu me prévenir. Non, je suis conne ; ça se dit pas, ça se vit ! T’es complètement à poil, là ? Je fais juste non de la tête. — Ah, que le bas, alors. Essaye la totale, un jour : c’est génial. Putain, tu m’as trop redonné envie… Je ne dis toujours rien ; je crois que mes yeux parlent pour moi. Je ne le remarque pas sur l’instant, mais le bus est presque vide maintenant ; il ne se remplira probablement pas avant d’approcher du centre-ville. Le voisin de Valérie est descendu et nous sommes maintenant seules au fond du bus. Valérie l’a bien remarqué. — Je t’en dois une, p’tite sœur, me dit-elle avec un clin d’œil. Que veut-elle dire ? — Attends ; mets-toi debout, là, devant moi. Encore une fois, j’obéis ; je pose d’abord mes affaires et son blouson sur mon siège et me mets debout entre celui-ci et celui de Valérie. J’essaie alors de reboutonner mon manteau ; mais, d’une main impérieuse, Valérie m’en empêche. — Bouge plus, je te dis. Elle glisse alors ses mains sous son débardeur, dans son dos, se tortille un peu. Quelques contorsions de plus et elle a retiré son soutif. Ses aréoles brunes sont assez ...
    ... clairement visibles. Le bus s’arrête, d’autres passagers descendent. — C’était pas ton arrêt ?— T’inquiète pas pour ça, Claire. Bon, tu bouges pas, hein ? Dès que le bus redémarre, elle retire ses chaussures. Elle me dévisage à présent ; elle me tire la langue et me refait un clin d’oeil. Non, pas possible, mais… si ! Elle déboutonne son jean, soulève ses fesses, et retire prestement son pantalon et son slip. Je ne saurai pas si c’est une vraie blonde ! J’en avais bien sûr entendu parler, voire discuté avec d’autres copines, mais c’est la première fois que je vois un sexe intégralement épilé. Je vois toute sa chatte : ses grandes lèvres, et même son clitoris qui pointe le bout du nez. Cette vue me donne envie de faire la même chose qu’elle pour pouvoir toucher ma peau qui doit être si douce à cet endroit. — Hé ! Arrête de rêver : file mon blouson ! Je le ramasse et le lui tends. — Mais tu vas jamais pouvoir te cacher ; il est trop court ! Il t’arrive à la taille. Valérie se lève et s’entoure la taille avec son blouson, fait un nœud avec les manches. — Alors ? J’ai retrouvé ma voix, même si je reste assez estomaquée. En tout cas, je ne pense plus du tout à ma quasi-nudité. J’ai trouvé ma maîtresse ! — T’es sacrément gonflée ! OK, on verra pas tes fesses. Mais là, je vois tes cuisses presque jusqu’aux hanches. Y a vraiment que ta fente qu’on voit pas.— Oh, désolée. Je répare ça tout de suite. Elle écarte aussitôt les manches du blouson, réoffrant à ma vue son pubis tout lisse et ...
«12...161718...22»