Juste une graine
Datte: 26/07/2019,
Catégories:
f,
ff,
jeunes,
fépilée,
essayage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... l’ourlet de ses lèvres. Je ne peux m’empêcher de dire : — C’est super excitant. Je n’avais jamais vu un minou sans poils. Enfin, pas depuis ma puberté. Elle relâche tout de même les manches de son blouson. — Ravie que ça te plaise. Bon, sans déc’ : quand on arrive à ton arrêt, je reste collée juste derrière tes petites fesses et on va jusque chez toi. Je me resaperai là-bas. Je déglutis : — OK, on… on fait ça.— Mouais, mais n’empêche : tout ça n’est pas très juste.— Hein ?— Ben ouais : toi, tu as vu toute ma moule, et là je vois bien que tu mates mes seins. Moi, j’ai juste eu droit à de l’ombre sur un buisson qui m’a semblé fort épais. Je rougis devant sa crudité. Décidément, il me reste beaucoup d’étapes à franchir pour devenir celle que je veux être à présent. — On échange nos places, et discute pas ! Je suis toujours sous sa coupe, et je me retrouve donc sur l’une des places du fond, Valérie devant moi, bouchant la vue au conducteur qui va quand même finir par se poser des questions. Le jean, la culotte et les chaussures de Valérie sont toujours par terre, mais elle semble s’en moquer pour l’instant. Nouvel arrêt du bus. Deux personnes montent ; ouf, elles restent à l’avant. — Allez, à ton tour !— Quoi, tu veux que j’ouvre mon manteau pour te montrer ma chatte ?— Tss, tss. Tu enlèves ton manteau et tu me bazardes tout le haut.— Mais, mais… on va me voir depuis la rue !— M’en fous. Allez, grouille ! Tu le regretteras toute ta vie, sinon. Comment a-t-elle pu lire ainsi mes ...
... pensées ? Peut-être tout simplement parce que je ne me suis pas opposée à me déshabiller devant elle, mais juste inquiète de me montrer à d’autres ? Je me glisse dans le coin du bus au lieu de rester bêtement en plein milieu de la travée. J’aurai ainsi trois remparts : les sièges devant, la paroi derrière, et Valérie qui s’est placée sur le côté. Je déboutonne complètement le manteau. — Vite, Claire : dans une minute, c’est le prochain arrêt et va y avoir des feux rouges. Je me dépêche, aiguillonnée par la peur et le plaisir de me retrouver de nouveau nue. Je cale le manteau contre la fenêtre, fragile écran pour mon reste de pudeur. Mon pull et mon tee-shirt se retrouvent très vite sur le siège. Valérie jette un coup d’oeil en arrière. — Profite ; t’as le droit à quelques secondes de bonheur encore ! Visiblement, elle veut aussi profiter : sa main passe sous les manches et je n’ai aucun doute sur le petit plaisir qu’elle est en train de s’offrir. Je m’attribue aussitôt mes 17 ou 18 points manquants ; je ferme les yeux et mes mains s’activent à leur tour dans leur ronde favorite : la droite sur mes seins, la gauche sur mon pubis. Je perds le contrôle ; il n’existe de nouveau plus rien, rien que moi et mes doigts. Sur un plan purement érotique, mon cerveau sait que je suis nue, devant une copine, dans un bus ; mais les yeux toujours fermés, la situation n’est plus qu’un rêve au pouvoir hautement électrisant. Je me masturbe de plus en plus fort ; le plaisir monte, monte… Je mords ...