Un irrépressible besoin de sexe (histoire écrite en 08/2011 avec les confidences d’une amie).
Datte: 26/07/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... sommes quittés bons amis. Nous nous revoyons de temps à autre mais ce n’est plus pareil. A l’hôpital, il ne se passait pas une nuit de garde sans que je baise au moins une fois ! Cela se passait généralement entre 2 et 3 heures pendant la période la plus calme. Il suffisait que l’un des hommes présent dans l’hôpital me demande de le suivre dans un endroit propice pour qu’aussitôt, ma chatte s’humidifie et que dès que nous étions seuls, j’écarte mes cuisses, avide d’être baisée. Les weekends lorsque je n’étais pas au boulot, je sortais en boite pour danser ou en club. Bien évidemment, en dansant, je levais vite fait un mec : ce n’était pas difficile, je portais généralement une jupe s’arrêtant à mi-cuisses, un sweatshirt très serré au travers duquel on distinguait les tétons de mes seins et un string des plus réduit. La série des slows se terminait par une bonne partie de jambes en l’air dans une voiture ou dans un endroit isolé et je revenais dans le dancing heureuse et comblée, prête à recommencer avec un autre. En club, j’étais de plus en plus exhibitionniste, me livrant avec le temps à des danses de plus en plus lascives, en venant même à partager la perche avec d’autres filles. C’était alors l’occasion d’échanger entre nanas des caresses de plus en plus chaudes mais ça n’allait jamais plus loin. Nos shows lubriques étaient alors acclamés par une salve d’applaudissements des coquins des deux sexes qui nous avaient matés. Lorsque je rentrais chez moi, j’avais besoin d’une ...
... bonne douche chaude pour me délasser et me débarrasser des restes de la nuit : jets de foutre et de cyprine mélangés car désormais, à force de faire des trios j’étais devenue bisexuelle. A fréquenter les trois mêmes clubs du centre de Paris, j’avais acquis et confirmé mes qualités de bonne baiseuse, toujours prête à me faire sauter ou à participer à un groupe à géométrie variable si bien qu’une nuit, je me suis retrouvée embarquée dans une séance dont je me souviendrai longtemps. Ce soir-là, c’est le gérant lui-même qui m’a reçue au bar et m’a offert une coupe de champagne. Nous avons bavardé quelques minutes et il s ‘étonnait de me voir arriver seule : • Alors Vanessa, seule ce soir ? • Oui mais je suis sure que je vais trouver quelqu’un pour me baiser. D’ailleurs tu le sais ! • Oh çà ce n’est un secret pour personne : Tu aimes baiser. J’ai une proposition à te faire. Si tu es OK, tu pourras entrer gratos chaque fois que tu voudras pendant un an. Vas faire un tour à la perche et revient me voir. • D’accord, çà marche pour moi ! Je suis passée par le vestiaire où je me suis débarrassée des vêtements superflus et en simples soutien gorge et string je suis allée, non pas à la barre, mais dans une des cages pour m’exhiber et exciter les mecs et les filles présents. Au bout de quelques temps je suis revenue au bar où le gérant m’a présenté trois jeunes hommes dans la trentaine : • Voila Vanessa, si tu es toujours partante, ces trois lascars veulent te baiser les uns à la suite des ...