1. Un irrépressible besoin de sexe (histoire écrite en 08/2011 avec les confidences d’une amie).


    Datte: 26/07/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Je me prénomme Vanessa. A bientôt 40 ans, j’ai un irrépressible besoin de sexe. C’est pour moi comme une sorte de drogue, j’ai besoin de ma dose tous les jours (du moins le soir) pour être en forme au boulot le lendemain. Déjà dès mon adolescence, j’ai découvert mon corps et les caresses qui pouvaient me donner du plaisir. Sous la douche quotidienne, je laissais l’eau ruisseler sur les seins dont les jeunes bourgeons s’érigeaient et mes mains descendaient sur mes hanches de jeune fille à peine pubère pour venir caresser mon bouton d’amour et ma chatte. Chaque fois c’était de plus en plus fort. A cette époque, je ne me trouvais pas belle ! Grande fille longiligne, j’avais le visage allongé et le menton pointu, la bouche mince et de longs cheveux blonds et lisses. Mes seins et mes hanches étaient à peine marqués. Bref, vis-à-vis des garçons, je passais inaperçue et je n’avais pas de flirt alors que dans les années 2000, les copines changeaient presque de petit ami tous les mois, passant de l’un à l’autre, les échangeant même parfois pour comparer leurs performances amoureuses. Chaque fois que ma meilleure amie me parlait de ses copains du moment et de ce qu’ils faisaient ensemble, j’étais excitée et je mouillais comme une fontaine, me demandant quand je connaitrais enfin ce que toutes les filles de mon entourage avaient expérimenté. Il a fallu que j’attende l’été de mes 18 ans pour qu’un garçon s’intéresse enfin à moi. Avec mes parents et mon frère cadet, nous étions en ...
    ... camping au bord d’un lac de barrage dans les Alpes de Haute Provence. A côté de notre caravane, il y avait celle de parents de Ludovic. Comme cela arrive souvent au cours des vacances, les deux familles avaient sympathisé et le soir nous prenions souvent l’apéritif tous ensemble, voire même nous partagions un bon barbecue. Après le repas, pendant que les parents refaisaient le monde, je partais avec Ludovic pour de longues promenades sur la rive du lac. Nous parlions de nos projets et de nos aspirations. L’un et l’autre, nous avions terminé nos études secondaires et nous nous apprêtions à débuter notre cursus universitaire. Je voulais être infirmière, lui voulait être ingénieur dans l’industrie spatiale : deux choses complètement différentes. En marchant nos mains se touchaient parfois… jusqu’au moment où nous avons du franchir un ruisseau qui rejoignait le lac. Pour me faciliter le passage à gué sur des pierres prévues à cet effet, Ludovic a pris fermement ma main et ne l’a plus lâchée après. Je me sentais bien et (sans être naïve), je me demandais comment cette promenade allait se terminer. C’est ce soir-là que j’ai perdu ma virginité. Ludovic a été très doux et nous avons recommencé chaque soir au bord de la rive, loin des regards indiscrets. Avec 1.78m, j’avais pris quelques formes, mes seins et mes hanches étaient plus marqués mais c’est ensuite que mon corps a changé. Est-ce le fait d’avoir fait l’amour que quelque chose s’était débloqué, je n’en sais rien, mais à partir de ...
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