1. Ma bien-aimée


    Datte: 23/06/2017, Catégories: hsoumis, fdomine, humilié(e), nopéné, hsoumisaf,

    ... ridicules. Nous nous revîmes dans la semaine, je l’avais invitée au restaurant espérant conclure. Que nenni, rien à faire, j’avais essayé de l’embrasser dans la voiture mais elle m’avait gentiment repoussé précisant qu’elle ne se sentait pas encore prête pour une aventure et qu’elle n’était de toute façon pas fille à se donner facilement. Loin de me décourager, cette difficulté ne fit qu’attiser ma flamme, je m’étais mis dans la tête de la séduire et comme on dit au club des poètes « de me la faire ». Nous nous sommes revus à la soirée suivante chez Julie et la semaine d’après je l’invitai au cinéma. C’était un film d’horreur et, comme un adolescent, faisant mine d’avoir peur je prenais sa main et la serrais dans la mienne. Elle par contre devait être réellement effrayée car elle me serrait plus fort encore, je sentais ses ongles s’enfoncer dans le creux de ma main. Quand nous sortîmes elle s’en excusa, je lui dis que ce n’était rien et qu’au contraire je prenais ça comme un signe de confiance. Ce soir-là, je réussis à l’embrasser. Je savais maintenant pourquoi elle portait toujours des robes amples, elle était disons, plutôt gironde, des hanches larges, des fesses volumineuses, un minou touffu. Avantage de l’inconvénient, elle était dotée d’une poitrine plus que généreuse, inconvénient de cet avantage, le poids de ses seins faisait qu’ils n’étaient pas vraiment fermes si vous voyez ce que je veux dire… Mais peu importe, je ne recherchais pas Miss Monde, je voulais juste ...
    ... une femme pour m’assouvir. Ce fut chose faite dans la voiture, sur le parking discret du supermarché du coin. Elle soufflait et émettait des râles fort satisfaisants à mon goût car preuves de mon savoir-faire. J’évitai de lui susurrer au coin de l’oreille un « Alors heureuse ? » malvenu mais n’en pensais pas moins. Les semaines passèrent et nous étions devenus un vrai couple, à la grande satisfaction de nos amis d’ailleurs qui nous trouvaient bien assortis. Trois mois plus tard nous décidions qu’elle viendrait habiter avec moi, mes sentiments s’étaient transformés, j’appréciais sa culture, sa vivacité d’esprit, son intelligence, je ne m’étais jamais ennuyé une seconde avec elle. Elle semblait satisfaite elle aussi et nous avions trouvé bête de payer deux loyers alors que nous étions si bien ensemble. Pour autant nous ne nous étions pas projetés sur le long terme, nous nous étions dit : « On verra bien. ». Sortir avec une fille c’est une chose, vivre avec elle c’en est une autre et je m’étais bien vite rendu compte que c’était une limace bordélique. La cuisine c’était pas son truc, hormis ses spaghettis bolognèse qui étaient délicieux (merci monsieur Panzani). Mais on ne peut tout de même pas se régaler de pâtes tous les soirs. Étant donné que je ne suis pas non plus un maître queux, du moins dans ce sens-là du terme, c’était bien souvent des plats tout faits au menu. Cette vie de pataud me convenait de moins en moins, j’en avais marre de cette fille qui ne foutait rien à la ...
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