1. Martha my dear


    Datte: 27/07/2019, Catégories: Humour, Mature, Première fois

    Je dois à mon neveu une fière chandelle. Durant un mois j'ai été hébergépar celui-ci. Je devais effectuer quelques examens dans un grand hôpitalparisien. Le résultat en fut fructueux. J'en sortis rasséréné. Lamaladie pouvait être gérée. Je n'étais pas à l'article de la mort. Lavie m'ouvrait les bras. J'en eu l'assurance durant ces jours. Le neveuen effet outre sa copine hébergeait une amie de celle-ci. Une brunebelle d'origine argentine, Elle s'appelait Martha et était musicienne.Elle jouait du violon. Elle attendait à la fois une inscription enconservatoire et qu'une bourse lui fut débloquée. Chaque matin nousparodions une sorte de prière pour qu'elle y parvint.Les deux mâles sous le toit étaient sous le charme de Martha. La copinede mon neveu avait du mal à réprimer son agacement voire sa jalousie.Elle en plaisantait ne parvenant à se guérir de ce tourment. On nedompte pas un cyclone. Martha se savait irrésistible. Nous lui savionsun amant et protecteur. Martha avait 23 ans. Lui plus du double. Il eûtpu être son père. Homme marié et bien en cours à l'ambassaded’Argentine, il l'avait fait venir ici tel sa maîtresse. Elle espéraitparvenir par cet étrange mentor. Elle n'en cachait rien. Tantd'innocence et d'effronterie pouvaient se pardonner. En ce deux piècesnous étions un peu les uns sur les autres.Cela requerrait que nous ménagions la pudeur des dames. Martha n'enavait cure qui des fois déboulait toute nue de la salle de bain. Ainsisavais-je le détail de sa croupe, de ses ...
    ... seins et de sa chute de reins.Le supposé mourant que j'étais n'en éprouvait pas moins à ce moment làun frémissement notable de la verge. Cette garce eût ressuscité Lazarelui-même. Je n'ai jamais eu la preuve que le neveu et elle couchaient.Il y eût du temps avant que l'apaisement survint après son départ. Cetremblement de terre avait tout bouleversé et fait perdre les points derepère. Mon neveu crut peu après offrir le gage d'un enfant à sa copine.C'était le moins qu'il pouvait faire.Martha et moi n'en devinrent pas moins complices le premier jour. Eneffet au contraire des deux autres je goûtais la musique classique.Notamment j'avais à l'oreille la musique des grands chevaux de batailledu répertoire violoniste. Le Brahms était son préféré. Cependant elle neserait jamais une soliste virtuose. Être violon de second rang dans ungrand orchestre parisien lui convenait. Je l'assurais de son talent etqu’elle réussirait. Je devins ainsi son confident. Elle m'avoua quecertains jours les exigences de son mentor lui pesaient. Elle étaitrésolue au plus vite de sortir de l'engrenage. Elle me concéda qu'elleusait des hommes comme d'un moyen.Vous aurez compris que j'étais follement entiché de cette fille. J'enoubliais presque mes soucis de santé. Je tâchais de la rassurer sur cecompte lui en taisant la moitié. Nous dormions en vis-à-vis dans un coindu salon séparés d'un rideau de fortune. Mon matelas à même le solprocurait un bon sommeil. Je lui avais concédé le confort d'un largedivan où je ...
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