1. Nicolas (1)


    Datte: 28/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... n’en mets pas ! Ce qui me vaut un regard courroucé, mais elle n’ajoute rien. Elle m’entraine à l’intérieur de la maison où une bonne odeur de plat qui mijote m’accueille. Je sais qu’elle a cuisiné spécialement pour mon retour ; j’aperçois sur la déserte une tarte aux fruits maison comme je les aime. Elle espère m’apprivoiser avec ces bonnes intentions comme elle le faisait avec mon père, mais avec moi est-ce nécessaire ? J’apprécie de revenir ici, même sans cela. J’aime tellement sentir sa gentille présence. Comme l’heure du repas arrive, elle enfile une robe pour entrer dans sa cuisine. Je l’aide à mettre la table et je profite qu’elle a les mains occupées pour la prendre dans les bras et lui faire de gros câlins. Cela stoppe temporairement son activité pour me rendre un gros bisou… Des témoins de ces effusions pourraient se poser des questions sur ces rapports ambigus d’un fils et de sa mère ! Je crois que j’ai hérité d’elle d’aimer les câlins… En l’aidant à se consoler de son dernier gros chagrin, je suis revenu dans ses bras son gros bébé d’amour. J’ai l’impression qu’elle trouve un réel plaisir à ces nouveaux moments de tendresse. Avant, lorsque j’étais gosse, elle me câlinait, souvent en cachette, souvent pour m’aider à supporter des colères paternelles parce que j’avais fait, ou pas fait, quelque chose qu’un enfant de mon âge, à son avis, aurait du. Nous nous installons pour ce repas en tête à tête, nous l’agrémentons de discutions sur les potins de la région, mes ...
    ... études ou mes projets futurs et puis plus intime : elle s’enquiert si j’ai une copine. J’ai bossé dur pour avoir mon diplôme et je ne suis pas assez doué pour mener les deux de front laissant ma vie sentimentale en jachère. Avec ma réponse négative et pour couper court aux commentaires je lui retourne sa question. Sa réponse est aussi négative, argumentant qu’elle est trop vieille, son visage marquant la tristesse. Ayant le sentiment d’avoir touché une partie encore sensible, je me lève et reviens lui faire des caresses… Nous terminons le repas par chacun une grosse part du magnifique désert qui nous narguait depuis mon arrivée, le tout agrémenté d’un café. S’en suit un moment de silence pour mettre en route la digestion… ou simplement par manque de sujet de conversation et profiter de ces instants de tendre complicité. Puis je la vois prendre un air grave, comme pour quelque chose de plus délicat : — …Est-ce que ça ne te choquerait pas de voir ta mère nue ? Je suis pour le moins très surpris de cette question, je réalise qu’elle a certainement un rapport avec mon trait d’humour de tout à l’heure devant sa tenue ! C’est vrai aussi, je me suis déjà fait la remarque, souvent à haute voix, que de nombreux voisins profitaient de propriétés entourées de murs ou de haies comme la nôtre pour pratiquer le naturisme en famille : c’était dans les mœurs du coin ! Chez-nous cela heurtait les idées puritaines de mon père mais depuis son départ la question n’avait plus été abordée. Ma réponse ...
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