1. Nicolas (1)


    Datte: 28/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... famille lorsqu’un enfant vient d’un fils et de SA mère ou d’un père et de SA fille. Mais maintenant que les femmes sont capables de maitriser leur fécondité tous ces arguments s’effondrent ! Je reste un moment sans voix, réalisant que maman semblerait favorable à braver l’interdit de l’inceste. Et devant mon hébétude elle ajoute : — Les « bonnes mœurs » n’évoluent que lentement et c’est vite dangereux d’aller contre. Si on a de bonnes raisons de ne pas les respecter, il faut le faire dans la prudence et la discrétion. Maintenant elle m’enveloppe de ses bras et me serre contre elle en ajoutant : — Il nous faut contrôler nos manifestations de tendresse en publique et j’accepterai ton choix de braver ou non cet interdit. Dans le cas où l’on transgresse, il faut que tu sois conscient qu’il faudra rester très discret… Elle continue, son regard est intense : — Nous aimons tous les deux la tendresse et les câlins, nous pouvons nous faire plaisirs ensemble. Mais attention, il ne faut pas, non plus, que cela nous empêche de vivre une vie normale et d’avoir des relations avec des personnes étrangères à notre famille. La gravité de son discours s’oppose à la douceur de sa peau, j’essaie d’évaluer les conséquences de ce choix. Mon cœur a déjà décidé mais ça bouscule tellement mes certitudes. Et puis je réalise l’origine de mon trouble et de ma gêne, je suis amoureux de ma mère ! Puis-je vivre cet amour ? Cette révélation me sidère… C’est ma mère en me secouant qui me ramène à la réalité ...
    ... : — Que penses-tu de tout ça ? Ca me sort sans réfléchir : — Maman, je t’aime ! Elle se sert plus fort : — Mon chéri, moi aussi je t’aime ! C’est vrai, cette déclaration d’amour réciproque ne répond pas directement à la question posée car cet amour peut être seulement filial ou plus intime… L’intensité des effusions qui s’ensuivent donne une indication plus précise. Je me hisse sur mes bras pour m’assoir près d’elle et malgré mon corps mouillé nous partons dans une étreinte passionnée, nous embrassant à langues déployées. Mes inhibitions battues en brèche, je commence à caresser le corps de ma mère, découvrant la douceur et le velouté de sa peau. Puis je la regarde, elle me sourit, j’ai l’impression de porter l’amour du monde dans ce regard. — Maman, je t’aime ! — Moi aussi mon chéri, je t’aime ! Emporté par ce cyclone d’émotions je ne sais que répéter mon amour, mais elle semble mieux maitriser la situation et plus lucide, elle ajoute : — Je t’aime, si tu en as envie, on peut devenir amant mais il ne faut pas que ça t’empêche d’avoir une petite amie… et moi aussi. Je ne suis pas possessive et je veux que nous gardions tous les deux notre liberté… J’apprécie les précautions qu’elle y met, elle reste le parent raisonnable alors que moi, les émotions et peut-être les hormones me submergent… Nous restons un moment serrés l’un contre l’autre, peau contre peau. Nous nous caressons, nous nous embrassons. Dans cette étreinte je retrouve le plaisir que j’éprouvais enfant lorsqu’avec ...
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