1. Nicolas (1)


    Datte: 28/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... parle de cette fameuse arrivée car c’est quelque chose que les garçons ne pourront jamais connaître. Je me relève, regarde intensément son sourire en plaçant une main sur son pubis : — C’est là que je suis passé pour venir sur terre… Parles-moi de ce moment là ! Son visage marque la surprise, puis elle devient grave et me demande de préciser ce que je veux savoir. Lorsqu’elle a compris, elle part à me raconter les derniers moments de sa grossesse et les premiers moments de mon arrivée au monde. Elle ajoute comment elle a vécu ces longs instants, ce qu’elle a ressenti… Je suis ému d’entendre ainsi les débuts de mon histoire, ma main caressant et célébrant le lieu de l’événement. Ma mère ne sera jamais une femme comme les autres et c’est aussi pour cela que je l’aime. Je comprends qu’une femme, une mère, ne peut pas avoir les mêmes rapports qu’un homme avec les enfants ; ils sont des parties vécues d’elle-même… Son récit terminé, nous restons silencieux. Moi parce que je veux graver dans ma mémoire cet acte fondateur. Elle, j’ignore, mais elle arbore son visage de plénitude, une étape de sa vie bien remplie, j’en suis ici le témoin ! La voici qui se lève, elle se dirige à l’intérieur de la maison, sa taille fine et le galbe de ses fesses feraient damner un saint. Elle revient souriante, elle s’est seulement informée de l’heure : — Il est déjà 18h30, je n’ai pas envie de me mettre à la cuisine ce soir et pour fêter nos amours je t’invite au restaurant ! Il faut nous préparer, ...
    ... nous rentrons tous les deux dans « nos appartements » pour nous déguiser pour la soirée projetée. Moi ce sera simple, ma garde robe d’étudiant étant plutôt limitée. Elle est aussi assez rapide, elle réapparait avec une jolie robe noire nettement au dessus du genou et qui dévoile juste les épaules, soulignant ses formes et sa taille. Des pieds-nus, lacets blancs, noués au dessus de la cheville et talons liège mi-hauts, mettant en valeur ses jambes bronzées… Comme à son habitude elle ne porte comme bijou que juste un simple collier nacre blanc qui habille son cou. Son maquillage est très discret, juste peut être un peu les yeux pour mettre en valeur son regard. Elle a l’allure d’une beauté naturelle rivalisant sans peine avec une fille de mon âge. Elle me tend des clés et un porte carte : — Garde ça sur toi, je ne prends pas de sac… on prend ma voiture ! En marchant vers l’abri voiture elle m’explique que si ça me dit, il y a une crêperie pas très loin d’ici qui peut faire l’affaire. Elle s’arrête un instant avant de s’installer au volant pour que je l’admire : — Alors comme cela, est-ce que ta vieille mère te plait ? — Maman arrête de dire que t’es vieille, TU ES MAGNIFIQUE ! Pour compléter mon argument avec un air faussement de regrets, j’ajoute : — Et tu ne fais même pas couguar ! Elle prend place, moi je m’assois en passager. Je ne peux m’empêcher de caresser le genou qui est à ma portée en remontant sur la cuisse douce et fraiche. Ce qui me vaut un regard de réprobation : — ...
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