Mia sans dessous - 4
Datte: 29/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
La cage s’ouvre J’arrive dans la cuisine. Marthe et Janine sont là. Comme d’habitude, Marthe passe la main sous ma jupe pour vérifier que je n’ai pas de culotte et que mes « fesses sont à sa disposition », comme elle dit. Elle sent la courroie de cuir entre mes cuisses et mes fesses, relève ma jupe : — Qu’est-ce que c’est, ce machin ? Moi, je bredouille ma petite histoire... Madame s’est plainte que je léchais mollement... du coup, Mademoiselle Iris m’a punie, m’a obligée à porter cette ceinture de chasteté. — Et voilà la clé que je dois vous donner, Madame Marthe, pour l’ouvrir quand je dois faire pipi et, s’il vous plaît, je dois faire pipi très fort. Je me trémousse pour montrer à quel point c’est pressé. Il faut un moment pour que le cerveau, un peu embrumé de Marthe, gère toutes ces informations ! Je m’attends à devoir supplier, d’autant plus que Janine a son sourire des mauvais jours, enchantée de ce qui m’arrive. Elle ne va pas rater une telle occasion de me tourmenter, jalouse comme elle est. Mais ça ne plaît pas du tout à Marthe, cette histoire de ceinture : — Cette Iris, elle a un grain ! Elle ouvre la ceinture. — Va pisser ! Je cours dans le jardin, m’accroupis sur la pelouse. Pppppffff, ça fait du bien.... J’arrache une touffe d’herbe pour m’essuyer, puis je retourne dans la cuisine. La ceinture de chasteté est au milieu de la table entourée de tasses de café, d’un sucrier et d’une cafetière thermos, ça fait un curieux ensemble. Je regarde Marthe. — Tu ne la ...
... remets pas ! me dit-elle. Ici, je dois pouvoir accéder à ta chatte directement ! Arrive le facteur, très copain avec Marthe. C’est un gros homme jovial qui a l’accent du terroir. Il dit bonjour à Marthe, puis à Janine, à moi. Il a dû me voir en arrivant car il me dit : — Tu pisses dans le jardin, maintenant ? Alors Marthe lui montre la ceinture de chasteté, lui explique l’histoire. Il ouvre de grands yeux, le facteur. — Elles ont de drôles de jeux, les patronnes ! Mais bon, il n’est pas trop surpris, car Marthe lui a déjà parlé des soirées libertines qui se passent à la villa. Enfin elle, elle dit « les partouzes ». — Tu comprends, Madame veut que j’éduque cette petite (c’est moi), alors quand elle a fait une connerie, je lui donne une fessée, j’ai pas besoin d’une ceinture de chasteté dans le chemin. Ah ça, ça l’intéresse, le facteur. Il demande : — Sérieux ? Tu la fesses vraiment ? — Bien sûr, et pas qu’un peu. Ça se passe le plus souvent le soir, quand on fait la cuisine. Janine confirme : — Ah ça, pour ce qui est de lui faire passer les fesses au rouge, Marthe est championne. Le facteur a une grosse envie d’assister à une fessée ! Il trouve un truc : — J’peux pas le croire ! Je te parie cinquante balles que tu la fesses pas devant moi. Marthe n’est pas dupe de la manoeuvre, mais d’une part, elle adore me fesser, et d’autre part, cinquante balles, c’est toujours bon à prendre ! Elle crache dans sa main (c’est gracieux !), puis la tend au facteur. Tope là ! — Viens ici, ...