1. Mia sans dessous - 4


    Datte: 29/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... bien, Monsieur le facteur ? Il me tapote la joue. — Très bien, mon petit... j’aurais pas cru que tu avalerais tout. Marthe rigole. — Elle a pas envie de se faire fesser une deuxième fois... À ce moment, une sonnerie retentit : trois coups, ça veut dire « Mathilde chez Madame, schnell ! » Je me relève, demande à Marthe : — Je peux dire à Madame que vous ne voulez pas que je mette la ceinture, Madame Marthe ? — Oui. Je dis au revoir au facteur. Je l’embrasse sur la joue. Il en profite pour tâter mes fesses encore toutes chaudes. Il aura de quoi raconter à ses copains à l’heure de l’apéro ! — Allez, grouille-toi, dit Marthe. Je me dépêche de monter en pensant à ce que je vais raconter. Quand j’entre dans la chambre de Madame, elle est occupée à remplir un sac de voyage. — Je dois m’absenter d’urgence deux ou trois semaines. — Avec moi, Madame ? — Non, ce n’est malheureusement pas possible. Toi, tu vas partir avec Iris. — Oh, non, Madame, elle est... Elle lève la main, m’envoie une bonne paire de gifles. — Pour t’apprendre à discuter. Ouch ! Je me frotte les joues. Celles-là, je les ai bien cherchées. Maintenant, non seulement j’ai les fesses toutes rouges, mais aussi les joues. — Va faire ton baluchon, ordonne Madame. Sois sage avec Iris. Elle s’en va ! J’arrive dans ma chambre. Iris est déjà là. Je lui dis : — Euh... bonjour, Mademoiselle Iris. — À partir de maintenant, moi, c’est Iris, et toi, c’est Mia. Mathilde, ça ne me plaît pas ! Ah ? Voilà que je récupère mon nom. Iris ...
    ... sort de son sac un short en jean, un tee-shirt et des baskets. — Mets ça ! Je me change. Je lui dis comme à Madame : — Vous n’allez pas me punir comme le samedi... euh... Iris ? Elle me répond : — Tant que tu m’obéiras, tu ne seras pas punie. Allez, on y va ! J’ose demander : — On va où ? — Tu verras... Bien sûr ! En route vers de nouvelles aventures On quitte la maison rapidement. La voiture de Madame est déjà partie... ça ressemble à un naufrage. Les rats quittent le navire. On marche rapidement, on prend un bus qui nous amène dans le centre. Puis un autre jusqu’au nord de la ville. Iris a l’air tendue, elle ne parle pas. On va se poster près d’une bretelle vers l’autoroute A 6 pour faire du stop. Le stop, je connais, et quand j’ai un short, et rien en dessous de mon tee-shirt, à part mes nichons, je suis super bonne ! Assez vite, un camion, puis un autre s’arrêtent, mais la tête des chauffeurs ne doit pas revenir à Iris. Elle leur demande : — Vous allez à Paris ? Ils font tous les deux une tête, genre : « Aah, les femmes ! » et disent : — C’est la direction de Marseille, ici, Paris, c’est dans l’autre sens. Enfin, un troisième chauffeur lui convient. Il faut dire qu’il n’est pas mal. C’est un Maghrébin d’environ 25 ans. Il nous fait un grand sourire : — Deux fleurs au bord de la route... Iris lui répond : — Comment avez-vous deviné ? Je porte un nom de fleur : Iris... Elle y va à fond, Iris ! — Je ne demande pas mieux, dit-il. On grimpe dans le camion, on entre rapidement ...
«1234...8»