Mia sans dessous - 4
Datte: 29/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... faire exploiter ? me demande Jalil. Elle ne va pas me gifler en public ! Alors je fais non, avec la même tête que la petite marchande d’allumettes, le soir de Noël. Iris me dit : — Parle ! Je fais un « oui... » minuscule. Jalil veut en savoir plus. — Tu lui fais vraiment faire ce que tu veux ? — Oui, elle m’obéit. Elle est en fuite, n’a pas de papiers d’identité, pas d’argent, pas le droit de poser de questions, et en plus, elle doit sourire sinon elle va se prendre une claque dans pas longtemps ! Je fais vite un grand sourire. Jalil demande encore : — Elle n’a pas du tout d’argent ? — Non, je ne lui donne rien ! Jalil me demande : — Comment tu as fait, pour payer pour la toilette ? — J’ai demandé à un monsieur. — Elle est mignonne, hein ? dit Iris en rigolant. Sérieusement, je vais la faire travailler, genre poser pour des photos ou travailler dans un peep-show. — Oh putain ! Cette idée me fait rebander, les filles ! dit Jalil. On n’a plus le temps de profiter de la nouvelle érection de Jalil. Il nous dépose à la sortie Chalon-sur-Saône et nous laisse sur le bord de l’autoroute. On s’embrasse, on se promet de se revoir. On suit des yeux son camion qui redémarre, s’éloigne. On fait du stop, une voiture s’arrête. — On va à Saint-Désert, dit Iris. Saint-Désert, c’est un bled. De là, on refait du stop, on arrive en pleine campagne devant un genre de château ou de manoir entouré de vignes. — On va faire les vendanges, dit Iris. Ici, on ne viendra pas nous chercher ! Je ...
... comprends que c’est surtout elle et Madame qui sont recherchées ! Derrière le château, il y a des bâtiments plus modernes. On va se présenter au contremaître. Il prend nos noms, vérifie nos âges. C’est Iris qui a ma carte d’identité, et qui la garde. Le contremaître appelle deux jeunes gars pour qu’ils nous fassent visiter. Ils sont sympas. Ce sont des étudiants comme pas mal de jeunes, ici. Les dortoirs ne sont pas luxueux, mais ça nous convient. Peu de temps après, à 19 heures, c’est le repas. Sympa aussi, il y a des jeunes qui viennent de tous les coins de France. Plus de garçons que de filles parce qu’ils nous disent que c’est un boulot dur, même très dur. Le vin est à volonté... L’ambiance décontractée. On fait connaissance. Le lendemain à 7 heures, un réveil sonne, on gueule : — Debout ! C’est l’heure ! Toilette sommaire et commune. Petit déjeuner rapide, et on attaque les vendanges. C’est simple : avec un sécateur, on coupe la base de la tige, on jette la grappe de raisin dans une hotte. Simple, oui... mais il fait très chaud, on est souvent penché et on doit faire ça pendant huit heures. C’est crevant ! Bon, on s’arrête pour boire ou pour discuter un peu... mais le contremaître surveille et nous rappelle à l’ordre. Iris discute avec lui, il a l’air très intéressé. Qu’est ce qu’elle peut bien lui raconter ? Les repas du midi et du soir permettent de décompresser, mais je ne pense qu’à une chose : dormir. Iris n’a pas l’air de trouver ça dur. Il faut dire qu’elle continue à ...