Changement de rôle !
Datte: 29/07/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
fplusag,
couleurs,
couplus,
cocus,
Collègues / Travail
vacances,
fsoumise,
miroir,
BDSM / Fétichisme
69,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
échange,
yeuxbandés,
confession,
... au strip, j’enlève mon pull tellement il fait chaud. Tout le monde rit de ma plaisanterie. Sauf que mon corsage n’est pas tout à fait opaque et que ma poitrine est « devinable ». Gros silence. — Ce soir pas de strip, c’est danse, relance mon mari. Heureusement que mon iPad est chargé. Bien entendu qu’il est chargé. Oups, pas beaucoup de musique très rythmée, mais des slows, de langoureux slows. Cela semble convenir à nos clients. Bien entendu en tant qu’hôtes nous nous devons de divertir nos invités. François ne refuse pas mon invitation pendant que sa femme se retrouve « contrainte » d’accepter les bras de Marc. Le temps passe. Nous enchaînons les danses ne prenant que le temps de boire un verre avant de reprendre. — Je ne demande qui drague l’autre ? Je le lui demande en souriant, alors que derrière le canapé Marc et Éloïse dansent, collés l’un à l’autre. — Je crois qu’ils pourraient dire la même chose de nous. Tu ne crois pas ?— C’est vrai, mais d’un autre côté c’est la magie du slow. Ma génération ne sait pas apprécier cette danse.— La mienne, si. C’était le moment de la drague, celui où la fille se laissait aller, ou d’une certaine façon par son corps elle disait à son partenaire qu’il ne lui déplairait pas. Ce n’était pas la peine de se parler. Si le garçon lui faisait sentir son désir, qu’elle le sentait et qu’elle se plaquait encore plus, alors c’était gagné. On se sauvait discrètement, parfois chacun de son côté pour ne pas éveiller les soupçons du copain ou de la ...
... copine en titre s’ils existaient. Après Mai 68, la libération de la sexualité était devenue une réalité. Cela paraît évident maintenant, mais à l’époque on en profitait.— Éloïse aussi ?— Mais oui. Elle n’était pas la dernière. On avait fait une sorte de pacte. Chacun pouvait aller voir ailleurs l’espace d’une soirée, mais très discrètement et repartir ensemble.— Tu es sûr que nous parlons de la même Éloïse ?— Eh oui. Mais après le mariage, la maternité et surtout le choix de s’investir dans sa carrière cela a changé. Elle est devenue plus froide, bourgeoise. Sauf chez vous. Une sorte de réveil. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est bien agréable.— En tout cas, je constate que je ne t’inspire pas. Je ne sens pas ce dont tu parlais, dis-je en plaisantant.— Jeune fille les temps ont changé, je sais me contenir. Mais si j’étais plus jeune…— Ils sont vraiment collés, tu ne trouves pas ?— Éloïse a beaucoup bu.— Peut-être que Marc lui fait le coup de la séduction.— Cela m’est… François ne continue pas. Marc vient vers nous. — Éloïse est intéressée par le jazz. Je vais lui montrer sur mon MacBook tous les morceaux que j’ai d’enregistré. Je vous laisse l’iPad. Marc a réussi à baratiner la femme et pour l’entraîner dans notre chambre a dû lui demander de trouver une excuse. Il n’y a qu’elle qui a pu le dire. Et trouver cette excuse est déjà céder aux avances de mon mari. Il prend une torche LED et part, suivi de la femme. On les suit des yeux. On reprend notre danse. Au bout de quelques ...