Changement de rôle !
Datte: 29/07/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
fplusag,
couleurs,
couplus,
cocus,
Collègues / Travail
vacances,
fsoumise,
miroir,
BDSM / Fétichisme
69,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
échange,
yeuxbandés,
confession,
... a proposé cette tenue du « plus grand chic ». J’utilise ce terme, car manifestement la femme est une bourgeoise un peu coincée et de se retrouver fagotée ainsi ne lui plaît pas du tout. Mais au bout d’un moment, cheminée allumée dans notre salon, boissons chaudes, du thé « Mariage » évidemment pour Éloïse, ils se décontractent. On leur a dit que de toute façon ils ne pourront pas aller à leur chambre et donc récupérer leurs affaires, avant demain au mieux. On leur montre la chambre. Pas de remarque, mais on sent que le standing n’est pas le leur. Lui, met les formes. Elle, un peu moins. Mais après tout, on peut comprendre. J’envoie Marc, avec François qui accepte de l’accompagner, faire quelques courses à la seule épicerie ouverte un dimanche soir. Pendant ce temps, je propose à la femme de lui prêter quelques vêtements : — On doit faire la même taille.— Je n’ai aucun sous-vêtement.— Je viens d’acheter un lot de petites culottes. Elles sont encore dans leur emballage. Précision qui me paraît capitale. Je ne me vois pas mettre un slip d’une autre, même passé en machine. Alors ! Pensez ! Cette bourgeoise ! — Merci. J’accepte bien volontiers. Cette combi est des plus désagréables.— Suivez-moi. On va bien vous trouver aussi une nuisette ou un pyjama si vous préférez. Pour votre mari aussi.— Merci, mais il dort nu. Heureusement notre chambre est en bon ordre. — C’est ici. Je me dirige vers l’armoire. Ce côté du mur est pratiquement un seul miroir. Cela agrandit la pièce, mais ...
... surtout… (Lecteurs de mon récit Transfiguration/Maryse vous savez pourquoi ! Pour les autres, faites travailler votre imagination !) Le téléphone sonne dans l’entrée. Je redescends pour prendre l’appel en disant : — Excusez-moi, c’est peut-être mon mari. Et en montrant du doigt, j’ajoute : — Regardez porte de gauche, c’est mon côté. Je reviens. C’est en réalité la mairie qui vient aux renseignements. Ils m’informent de dire à mes « naufragés » qu’ils pourront récupérer leurs affaires demain dans l’après-midi, mais que l’hôtel ne va pas rouvrir tout de suite. Je remonte. Je franchis la porte de la chambre en disant : — C’est la mairie, vous allez pouvoir récupérer… Mais la femme ne m’entend pas. Elle n’a pas ouvert la bonne armoire. C’est ma faute ! Normalement celle-ci est toujours fermée à clé, mais, comme nous sommes sortis au club samedi soir et rentrés très tard je ne l’ai pas encore refermée. Elle a découvert tous mes trésors. Je parlais de certaines dépenses liées à notre libertinage. Eh bien, une partie s’affiche à elle. Mes robes et tenues sexy que je ne conseille à personne de porter ailleurs qu’en bonne compagnie. Mes dessous, culottes, soutiens-gorges, porte-jarretelles, nuisettes, alignées comme dans une boutique. Nos jouets sexuels, godes divers, gode ceinture, boules, plugs, bandeaux, baillons, menottes, sagement rangés dans des tiroirs. C’est le résultat de quasi dix années de jeux entre mari et femme, jeux où nous avons même expérimenté des soirées avec l’un de ...