1. Les escaliers (inspirée d'une histoire


    Datte: 29/07/2019, Catégories: Anal Hardcore, Inceste / Tabou

    “La vérité est dans l’imaginaire.” Eugène Ionesco C'était la seconde fois que je ramenais V... en bas de chez elle. La première fut plutôt chaste: un échange de paroles, une bise amicale et chacun rentra chez soi. Sur le chemin du retour j'avais eu du mal à garder ma concentration. Des images de son visage, de sa bouche, et en particulier de ses yeux troublaient mon self-control. Je revoyais également les ondulations de son corps sur la musique techno, ses cheveux blonds qui dansaient dans le vent et ses yeux clairs remplis de promesses. J'avais bien failli foncer dans un arbre avec mon vélo rien qu'en pensant à ses hanches et leur mouvement de balancier hypnotique. J'étais donc encore une fois en bas de chez elle, face à elle; à la fois par galanterie (il était quand même 1h du matin), mais aussi à cause d'un mystérieux magnétisme qui m'attirait vers elle. J'avais 40 ans, elle 17 de moins, cette différence n'était pas un obstacle à mon envie, mais je restais prudent, ne sachant pas exactement ce qui se passait dans sa tête. Encore une discussion courtoise et bien comme il faut, avant de se séparer. On s'approche pour se faire la bise. Ses lèvres frôlent ma joue gauche, nos têtes se tournent, et là par la plus grande des malices, elle rate ma joue droite, et me vises carrément la bouche qui n'en demandait pas tant. Je me sentis fondre par l'extrémité de ma langue. On s'embrasse avec passion, puis plus énergiquement encore, avec rage presque. Ce baiser dure depuis combien ...
    ... de temps ? Deux minutes ? Cinq ? Un quart d'heure ? Je n'en avais aucune idée, le temps s'était arrêté, accoudé tel un géant au dessus de son immeuble il nous espionnait par dessus les toits. Sans aucune parole, juste des regards complices et assurés, notre exploration continuait. Mes mains s'étaient naturellement posées sur ses reins, mais grâce à ce baiser, elles s'enhardissaient et commençaient à explorer ses formes qu'elles convoitaient tant. Des hanches elles glissaient le long du dos, remontaient jusqu'à tenir la nuque avec passion. Nos corps étaient encore séparés par un fin courant d'air, ce vide entre nous me gênait. Ma main droite lâcha le cou, se plaqua contre ses fesses et l'attira fermement contre mon bassin. V... commençait à onduler, ses mouvements me montraient qu'ils avaient découvert ma virilité, qu'ils la reconnaissaient et qu'ils la désiraient ardemment. Mon esprit était une proie, son corps: un boa. Lentement il m'enserrait, je n'avais pas le choix, il allait me dévorer je le savais, mais je ne me sentais pas étouffé pour autant, je le voulais; à ce moment précis je n'existais que pour le désir, pour la fusion et le plaisir. Je l'attrapais par la main et l'entraînais dans le hall d'immeuble. A cette heure tardive, il était désert et sombre, ça nous allait bien. Nos bouches s'étaient à peine décrochées quelques secondes qu'elles se fonçaient à nouveau dessus et nos lèvres cannibales se dévoraient. Son odeur, moins intense dans le vent chaud printanier, ...
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