Les escaliers (inspirée d'une histoire
Datte: 29/07/2019,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Inceste / Tabou
... commençait à envahir la cage d'escalier et me faisait tourner encore plus les sens. Le goût de sa salive, la chaleur de sa peau, son regard malicieux, le bruit étouffé de ses feulements et son odeur ensorcelante, faisaient bander et mon sexe et mon cerveau. Avec une évidence a****le j'avais envie d'elle, je voulais me frotter peau contre peau, je voulais la pénétrer, je voulais jouir avec elle. On s'embrassait, on montait une marche ; je lui massais les fesses, on montait une marche ; je lui mordillais le cou, on montait une marche ; elle glissait une main dans mon boxer, on avait monté un étage. Ce petit jeu continua en colimaçon jusqu'à sa porte. Dans la montée elle m'avait copieusement branlé; j'avais eu le temps de lui enlever sa culotte pour la lécher, adossée conte la rambarde de l'escalier, et nos langues continuaient leurs danses endiablées. L'interdit et le risque de cette situation nous avaient chauffé à blanc. Même si il était très tard dans la nuit, n'importe quel voisin aurait pu ouvrir sa porte et tomber sur une scène peu habituel dans sa montée d'immeuble, qui lui aurait sûrement laissé de belles images en tête. V... glissa enfin la clef dans la serrure, poussa la porte, alluma la lumière. La tension sexuelle retomba légèrement. Elle m'offrit un verre, à la fois par politesse mais surtout pour que l'on puisse reprendre notre souffle. La trêve fut de courte durée. Je l'attirais à nouveau contre moi et l'entraînais sur son lit. Vu que j'avais déjà arraché sa ...
... culotte, il ne lui restait que sa robe jaune ; un obstacle si fin, si léger face à mes pulsions. D'un lent mouvement je la lui fit passer par dessus la tête. Son corps nu se dévoilait au fur et à mesure, comme un rideau qui se lève sur une scène de théâtre, je profitais du spectacle . Je me déshabillais également mais plus rapidement. Dès que je fis voler à travers la pièce mes derniers sous-vêtements, je me ruais sur son entrecuisse. Sa vulve était fine, bien ciselée. Les quelques poils blonds présents étaient bien entretenus. Dans les escaliers j'avais juste pu la goûter. Maintenant je la contemplais. Cette fleur dégageait une odeur à faire pâlir n'importe quel encens aphrodisiaque. Je la reniflais, lui mordillais les pétales, suçotais sa carpelle, aspirais ses étamines, et dès que son miel perlait à l'entrée de son calice, je le buvais. Ses contorsions et ses gémissements en disaient long sur le plaisir qu'elle s'octroyait. Elle essaya bien de m'att****r le sexe pour me caresser en même temps, mais son attention était tellement portée sur ma langue que le reste lui semblait bien superflu. Lorsque j'avais assez butiné, je la fis se retourner de force sur le ventre, tendre les fesses en l'air et cambrer la taille. Sa tête était plongée dans les coussins, et la vue de ce cul tendu vers le plafond fut pour moi comme une révélation. Mon côté voyeur jouissais de ce qu'il admirait, mon côté joueur voulait aller plus loin. Je pointais donc ma langue vers le centre de cette cible, et ...