1. Sandrine et les trahisons (6)


    Datte: 30/07/2019, Catégories: Hétéro

    ... fesses. Je ne peux pas aller plus loin. La seule avec qui j’ai été aussi loin était mon ex-femme. Après trois ans de pratique intensive. Je prends un pied formidable à sodomiser Marjorie et je jouis, planté jusqu’à la hampe. Je me retire, Marjorie se tourne et se couche sur le dos. Je m’allonge à côté d’elle et elle se blottit contre moi. Elle me murmure : — J’aimerais beaucoup te revoir. — On habite dans la même ville, ça devrait pouvoir se faire. Elle grimace. — Pas simple pour moi. Mon mec est très jaloux et je sors peu. Et on habite à l’extérieur de la ville. — J’habite à côté de la Place Victor-Hugo. — Mais non ? Je travaille à côté ! Il apparait que Marjorie travaille à cinq minutes à pied de chez moi. Nous fixons rendez-vous pour lundi à midi. Alors qu’elle se rhabille, je place à nouveau un mot sur le mariage. Sa réponse fuse à travers sa voix douce et claire : — C’est le dernier effort que je fais pour Sandrine. — Pourquoi ? — Parce que je n’en peux plus de cette hypocrisie. Leur mariage ? Pffff… Son mec est un drôle d’oiseau. Au dernier Nouvel-An, je n’avais qu’à claquer des doigts pour qu’il couche avec moi. Et je te promets que je ne l’ai cherché en rien. Et je ne suis pas la seule qu’il drague quand elle tourne le dos. Bref, ils sont grands, majeurs et vaccinés et après, ce sera sans moi. De retour au salon, Sandrine me fait un signe vers son oreille en riant. Apparemment, elles ont bien entendu Marjorie prendre du plaisir. La jeune femme rougit. Nous buvons un ...
    ... dernier verre. Tout est ok pour le mariage. Je tente quelques plaisanteries mais le coeur n’y est pas. Peu avant 2h du matin, Sabine baille et se lève. Nous partons tous les quatre en même temps. En bas de l’immeuble de Sandrine, Aude chie à nouveau sur Sandrine : — Je me demandais si on allait partir un jour. Allez, encore jusqu’au 11 et basta… Sabine m’invite chez elle. — Tu viens avec nous ? On va poursuivre la soirée chez moi. — Oh ! Oui, volontiers, merci. Aude monte avec moi. Nous y sommes en cinq minutes. Je n’ai pas l’intention de rester et je dois trouver un moyen. J’en ai un, imparable. En entrant chez Sabine, je dis aux filles que je ne me sens pas bien. Je vomis aux toilettes, porte ouverte. Sabine vient aux nouvelles. Je lui dis que je vais rentrer. Elle comprend. Aude en profite pour dire que la bouffe était à gerber. Elle rigole de sa blague avec Marjorie. Je m’en vais et retourne illico chez Sandrine que je découvre en pleurs sur le canapé. Je m’inquiète : — Ca n’a pas marché ? — Si, si, c’est parfait. C’est juste que je suis à bout de nerfs. Cette soirée m’a vidée, c’était affreux. J’ai détesté faire tout ça. — Tu as ta vengeance, c’est l’essentiel. Je la prends dans mes bras. Elle pleure sur mon épaule, à chaudes larmes. De vrais gros sanglots. Elle m’embrasse. — Prends une douche et rejoins-moi au lit. Je ne veux pas dormir toute seule ce soir. thotllwj Je pense la trouver endormie, mais Sandrine veille. Elle s’est démaquillée, rafraîchie le visage, elle ...