L'expérience de Sarra
Datte: 31/07/2019,
Catégories:
Mature,
Première fois
Voyeur / Exhib / Nudisme
... ruelle à une distance de 15 mètres. Le restaurant se trouvait dans une nouvelle aire urbaine en construction. Il y avait donc, ce soir là, des maçons qui jouissaient de la vue de belles femmes venues dîner. A un moment j’ai senti qu’on m’observait. J’ai levé la tête et là j’ai vu deux maçons, aux jeans déchirés, le dos collé à une des voitures d’en face en train de me scruter soigneusement. Au début je n’ai pas réalisé mais j’ai remarqué après qu’ils mataient mes jambes. En fait, j’avais les jambes légèrement écartées sans m’en rendre compte. Machinalement, j’ai resserré mes jambes. Je me sentais gênée. Leur réaction était rapide, ils ont tourné la tête. L’anecdote aurait pu se terminer là. J’aurais pu les ignorer. J’aurais pu terminer le dîner et rentrer chez moi avec mon mari comme une femme sage. Mais je ne sais pas, je ressentais un étrange sentiment. Mon cœur battait trop fort. Mes mains tremblaient. J’ai commencé à ressentir un mini-orgasme en pensant à l’idée même d’écarter un peu mes jambes devant ces deux inconnus. Doucement et sans lever le regard, tout en parlant à mon mari de choses anodines, j’ai écarté un peu mes jambes en créant un petit tunnel qui menaient jusqu’à ma culotte. J’ai attendu un peu et j’ai levé la tête faisant semblant de scruter le monde qui m’entoure. Et là, j’ai remarqué que les deux maçons étaient aux-aguets. Ils ont bougé pour mieux rester dans l’axe face à moi. J’ai écarté encore les jambes tout en parlant à mon mari. Ils ont bougé. J’ai ...
... remarqué que l’un deux avait une main dans sa poche. En réalité, il se masturbait. L’autre faisait semblant de parler au téléphone, mais en réalité, il me matait. J’ai ressenti un désir fou, une sorte de décharge électrique qui faisait frissonner tout mon corps. Mes jambes étaient lisses et bien chaudes. Je venais de me faire un hammam suivi d’une épilation intégrale et d’un massage magnifique. Je me disais que ces pauvres maçons n’ont jamais vu des cuisses pareilles, offertes à vue. Mon mari mangeait encore comme un affamé. Je lui ai dit que je devais aller deux secondes aux toilettes. Il n’a pas levé la tête, le couscous était plus important à ses yeux. Je me suis levée et j’ai pris mon sac à main. Avec un rapide coup d’œil vers les maçons j’ai remarqué leur déception. Ils se disaient que j’allais quitter les lieux. Mais ils ne savaient pas que j’allais aux toilettes et que si j’ai pris mon sac, c’était pour enlever discrètement ma culotte et la ranger doucement sans que personne ne rende compte. De retour, je me suis assise, et là, c’est moi qui menais la dance. J’ai laissé mes jambes collées sans rien faire. Les maçons étaient toujours là, mais lassés de me voir ainsi, ils ont commencé à faire un va-et-vient près de la voiture en face comme des lions en rut. J’ai vu leurs visages. Ils avaient un regard bestial, des yeux perçants, j’imaginais leurs queues en érection, des queues poilues, bien dures, nauséabondes, puantes, mais j’aimais l’idée : des queues de maçons, ouf ! Ma ...