La boite de Pandore (2)
Datte: 31/07/2019,
Catégories:
Divers,
... Elle se sentait soudain des envies fabuleuses, elle aussi voulait sa part du gâteau… mais il allait boire le calice jusqu’à la lie, elle le désirait plus que tout. Et pour cela, elle savait y faire… — oooOOooo — Les doigts de Claude étaient d’une douceur, d’une sollicitude sans égale. Elle massait les testicules de son mari, et ses phalanges venaient de temps en temps frôler les lèvres qui entouraient la hampe. Bien entendu, elle savait à quel moment malaxer plus fort, juste pour faire frémir son mari. L’autre avait pris gout à cette pipe qu’il taillait d’une manière aussi habile qu’elle l’aurait fait elle-même. Comme quoi, il suffisait parfois de si peu de choses pour que la frontière entre l’hétérosexualité et la bisexualité soit franchie. Elle se déplaça sur son canapé de tissu. Oh ! Pas de beaucoup ! Simplement elle se mit en position pour s’occuper aussi de François. Il continuait à sucer d’une manière exquise le nœud d’un Michel conquis. De sa main libre, elle parcourut le torse de leur invité. Et ses doigts libres encerclèrent enfin la forme allongée de la bite de l’ami. Il se souleva juste un peu ; relevant seulement ses genoux. La chose chaude et vibrante monta vers la bouche féminine et elle fit comme le pompeur qui lui, persistait dans sa caresse buccale. Dans l’air extérieur, la température avait pris quelques degrés sans doute. Les étreintes ne faisaient cependant que commencer. La jeune femme se retrouva enfin étendue sur le sol ou les deux compères l’avaient ...
... déposé, dans le but évident de faciliter les caresses des uns et des autres. Coincée entre deux mâles qui revendiquaient une certaine prise de son corps, elle se berçait mollement en remuant la tête à droite et à gauche. Toute en douceur, toute en tendresse la visite de son ventre, de sa poitrine, tout allait bon train. Claude ne refusait plus rien, elle s’ouvrait à cette nouvelle façon de faire exulter son corps, frissonnant autant sous les mains de Michel que sous la langue avide de François. Son mari sur le dos la fit revenir sur lui et elle glissa sur ce mat sans voile, alors que leur complice lui écartait les fesses et que la pointe salivée de sa langue venait humidifier l’œillet sombre niché entre les deux collines. Michel avait compris. Il posa ses deux mains bien à plat sur les deux belles joues roses, tendues et la rosette devint aussi visible qu’accessible. La brune laissa faire quand elle sentit que derrière elle, l’autre se positionnait pour l’hallali. Elle n’eut qu’un vague sursaut quand elle sentit que son petit trou était visité, d’abord par un index qui se frayait un chemin lentement. Elle n’eut guère plus de peur alors que l’intrus était remplacé par un autre tellement plus gros. Et lorsque Michel remua et que François se mit à l’unisson, elle sut que deux queues valaient parfois... mieux qu’une. Les gémissements qu’elle laissait échapper en attestaient pour de bon. Elle arrêta de penser pour seulement se laisser aller à ce plaisir qu’ils voulaient faire monter ...