1. La boite de Pandore (2)


    Datte: 31/07/2019, Catégories: Divers,

    ... en elle. Ils y parvinrent si bien qu’elle ne savait plus qui lui faisait quoi. Elle ne cherchait même plus à deviner à qui appartenait le sexe qui lui labourait les reins, ou celui qui limait sa chatte. Elle était montée sur un nuage d’où elle n’avait nulle envie de redescendre. Les deux mecs en profitaient le plus largement du monde. Ils la prirent, la reprirent dans toutes les positions imaginables et elle adorait cela. Michel aussi se retrouvait aux anges, quant à François pourquoi aurait-il crié au loup ? Il n’avait pas rêvé d’autant de cul en deux nuits ! Mais les meilleurs aussi arrivent à se fatiguer et elle s’endormit alors que du sperme maculait son beau visage. Elle se fichait de bien de savoir lequel des deux avaient éjaculé au coin de ses lèvres. Son dernier souvenir avant de sombrer, ce fut le gout un peu âcre de ce liquide qu’elle avalait par petites gorgées. Entourée de deux mâles qui l’avaient fait jouir comme une folle, heureuse d’avoir osé, Claude se laissa couler dans le néant de l’oubli. Le soir tombait et le ciel d’été avait le rouge au front. La honte de qui s’était passé ou tout bonnement l’annonce d’une autre belle journée ? Pareille à une chatte, elle s’étira et reprit pied dans la vraie vie. Le sperme avait séché, elle avait besoin d’une douche. Elle repoussa prestement la main de Michel, qui en travers de son ventre la tenait comme si la peur de la voir s’envoler pouvait lui avoir traversé l’esprit. Il grogna, imité dans son cri par le gars qui de ...
    ... l’autre côté se pelotonnait contre la brune. Debout, elle jeta un œil au spectacle affligeant de ces deux hommes aux bites mollassonnes, engourdis par leurs exploits. Le seul lieu qui lui manquait était enfin à sa portée ! L’eau coula sur son corps. Elle ne bougeait plus attendant que le jet froid tiédisse légèrement. Ensuite, un gant confituré de gel au parfum de lilas courut sur la peau mate. Elle n’omit aucun endroit, aucune anfractuosité, aucune plage. Elle repassa dix fois, vingt fois sur les recoins qui avaient eu des visites répétées. L’eau purificatrice évacuait les souillures, mais restait cependant sa mémoire. Et là ! Pas moyen de la détacher celle-ci. Elle s’en voulait presque d’avoir cédé à cette pulsion, à cette envie, mais plus encore, c’était à son mari qu’elle en voulait de l’avoir amenée tranquillement vers… Mais n’avait-elle pas joui si fort que tout son être s’en souvenait ? Si bien sûr ! Mais, allez expliquer à votre cerveau que ce qui est bon n’est pas forcément mauvais ! Et puis elle se dit soudain qu’elle avait attrapé un virus. Celui d’aimer cela et pour celui-là, là Michel ne pourrait plus jamais revenir en arrière. En y repensant un peu, combien de fois dans sa vie de femme, avait-elle refusé les avances d’un homme avec toujours le même prétexte futile ? Celui d’être marié au plus charmant des hommes ! Mais lui n’avait pas hésité, pour son plaisir à partager avec un autre ce précieux cadeau qu’elle était. Elle en était là de ses réflexions quand la ...
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