Premières expériences
Datte: 31/07/2019,
Catégories:
fh,
hbi,
jeunes,
copains,
Voyeur / Exhib / Nudisme
préservati,
double,
init,
... intégralement nus avec mon ami. Je fus même surpris par la facilité avec laquelle je me suis habitué à vivre ainsi. Olivier étant également mon amant, nous faisions l’amour librement et comme nous l’entendions. Nos ébats les plus torrides étaient principalement le matin au réveil, durant nos siestes crapuleuses, et à la nuit tombée avant un sommeil réparateur dans les bras l’un de l’autre. Le reste de la journée, le plaisir était celui des yeux, avec quelques effleurements, quelques baisers, mais rien de plus. Nous voulions garder un maximum de vigueur et ne pas dilapider notre énergie à tort et à travers. Pour tout cela, nous n’avions fixé aucune règle ; elles s’étaient mises en place d’elles-mêmes. Le troisième jour, je somnolais dans une chaise longue, à l’ombre près de la piscine. Soudain je me réveillai et découvris à quelques mètres de moi une fille qui me regardait sans vergogne. Elle était intégralement nue et absolument sublime : brune, les yeux verts, un joli petit minois qui arborait un beau sourire. — Salut, je suis Fleur, la frangine d’Olivier.— Bonjour, ai-je répondu la gorge serrée, moi c’est Marc. Un copain de ton frère.— Ou plutôt un amant, n’est-ce pas ? Il a toujours l’art et la manière de trouver de beaux sodomites. À croire que les beaux mecs sont tous homos. Je ne réagis pas à sa pique, mais me dis qu’un corps sublime comme le sien aurait pu faire redevenir hétéro l’homo le plus farouche. Je remarquai tout d’abord ses seins ronds assez généreux, mais ...
... au maintien parfait et aux larges aréoles. Son ventre était plat, la taille fine avec un piercing au nombril. Elle avait une chatte aux poils noirs très fournis car aucunement épilée, mais qui était du plus bel effet. Sa peau légèrement brune ne portait aucune marque de maillot, ce qui dénotait son goût pour la nudité la plus totale. Je n’arrivais pas à détacher mon regard de son corps, et elle ne manqua pas de s’en apercevoir. — Eh bien, pour un homo, tu mates bien le corps des filles ! Tu ne sembles pas y être indifférent, en plus… Si tu continues, je vais découvrir un mât de cocagne alors qu’on n’est pas le 14 juillet. Remarque, cela ne me gêne pas du tout ; c’est même assez flatteur pour moi. Tu sais, ici, il y en a un autre qui souvent bande en me regardant : c’est mon frangin. Il a beau dire qu’il est homo, parfois j’ai des doutes.— Avec Olivier, tu fais…— Non, non, on ne baise pas. Jamais il n’oserait me toucher : je suis sa sœur, et l’inceste est proscrit, même pour des païens comme nous.— Je vois que vous avez fait connaissance, lança Olivier en nous rejoignant. Il avait effectivement lui aussi le membre dressé sans aucune gêne devant sa sœur. Elle n’est pas canon, ma sœurette ? Disant cela, il se plaça derrière elle, posa ses mains sur ses hanches. Sa queue courait le long de la cuisse de la jeune fille qui finit par la prendre en main pour la branler distraitement avant de se dégager de l’étreinte. Je me sentais très troublé de me trouver nu devant cette fille qui ...