1. Premières expériences


    Datte: 31/07/2019, Catégories: fh, hbi, jeunes, copains, Voyeur / Exhib / Nudisme préservati, double, init,

    ... l’était également. Pourtant, je ne fis rien pour voiler mon sexe. Surtout que celle-ci, d’une part le regardait ostensiblement, et d’autre part semblait se pavaner et s’exhiber au bord de la piscine, me mettant au supplice : elle écartait largement les jambes, laissant voir parmi ses poils pubiens une vulve charnue. Pour accentuer le côté sensuel de son anatomie elle s’étirait, ce qui faisait ressortir encore plus ses seins, se couvrait de crème solaire en malaxant toutes les parcelles de son corps, des chevilles au cou… Elle passait ses mains entre ses jambes, glissait ses doigts parmi les boucles de sa chatte jusqu’à atteindre sa vulve. Celle-ci me paraissait surdimensionnée, comme si ses petites lèvres vaginales sortaient naturellement en dehors de la fente, comme certaines Africaines qui, pour plaire aux hommes, les étirent manuellement. Et quelle sublime image lorsqu’elle s’allongeait sur le dos, se livrant aux rayons du soleil ! Olivier, à qui je reprochais de m’avoir caché la présence de sa sœur, me dit : — J’ignorais que Fleur viendrait si tôt dans la saison. Tu ne vas tout de même pas te rhabiller parce qu’elle est là.— Mais si je bande, elle va le voir.— C’est déjà fait, je te fais remarquer. Dès que tu l’as vue, ton sexe a commencé à bander. Est-ce qu’il t’a semblé que ça l’a dérangée ?— Non, effectivement. Mais je suis homo, je n’ai pas à bander pour une nana.— Ou est le problème ? T’as bandé en voyant ma frangine à poil. Moi aussi, alors que je suis homo et que ...
    ... je suis son frère. Quelle importance ? Je ne te veux pas en exclusivité. Si tu veux baiser avec elle, je n’y vois aucune objection. La connaissant, si tu as envie de partager son lit cette nuit, je crois qu’il n’y a aucun problème. Fleur fit tout pour m’attirer dans sa toile. Ainsi elle me demanda : — Tu ne voudrais pas me mettre de la crème sur le dos ? Ce qu’elle désirait véritablement, c’est que je touche son épiderme, que mes doigts la parcourent comme de toutes premières caresses. Pourtant, la timidité de ne permettait pas d’agir aussi effrontément qu’elle l’aurait certainement voulu. Fébrilement, je pris le tube et lui enduisis les épaules ; je descendis dans le dos jusqu’aux lombaires et je passai les mains sur les cuisses pour finir par les mollets. — Et les fesses ! me dit-elle. Tu veux qu’elles soient cramées par le soleil ?— Non, non. Je ne savais pas où me mettre, alors que j’étalais la crème sur son postérieur divinement potelé. Je faisais très attention pour que le bout de mon sexe dressé ne vienne pas en contact avec sa peau. Je regardais ce que je faisais, et Fleur écartait largement les jambes, exposant ainsi sa vulve et ses petites lèvres qui en sortaient. Je crois qu’elle aurait aimé que je vienne poser, là aussi, un peu de crème. Je ne le fis pas, non parce que je n’en avais pas envie, mais par un respect ridicule ou une timidité trop grande. Ce qui me bloquait également, c’était le regard égrillard de mon copain. Olivier me regardait m’occuper de sa sœur ...
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