1. Christine se transforme en cougar


    Datte: 01/09/2017, Catégories: fh, fplusag, Oral pénétratio, init, inithf, bourge,

    ... car Thomas ne venant que vers 20 heures, elle avait encore le temps pour la robe. Il était 18 h 30. Elle alla dans son salon pour se servir un Martini quand elle entendit frapper à sa porte. Elle fut très surprise. Cela ne pouvait pas être quelqu’un de l’extérieur car il fallait qu’on l’appelle par l’interphone pour qu’elle ouvre la serrure, et encore moins quelqu’un habitant dans l’immeuble. Il n’y a que trois appartements. Celui du rez-de-chaussée est occupé par une dame de 80 ans qui ne sort presque plus, et celui du premier étage par un couple qui vient de partir pour un mois en vacances. Elle alla vers sa porte et regarda discrètement par l’œilleton. Et stupeur, elle vit Thomas. Il frappa à nouveau plus fort. Christine restait plantée là. Habillée comme elle était, si elle ouvrait la porte, elle savait qu’il penserait qu’elle voulait l’exciter. Et elle ouvrit. — Thomas ! dit-elle, comme surprise. Comment es-tu entré ?— Je vois que tu m’attendais, dit-il en la dévisageant de haut en bas. Jolie tenue.— Mais comment es-tu entré ? redemanda Christine en rougissant.— Des gens sortaient de l’immeuble ; ils venaient de l’appartement du rez-de-chaussée, je crois. Alors, je rentre ou je te laisse ton portable sur le paillasson ? répondit-il avec un énorme sourire.— Allez, entre. Il entra. Christine se dirigea vers son salon. Thomas la suivit. — J’allais me servir un Martini. Tu veux quelque chose ? Il était juste derrière elle. Elle sentait sa présence. — Oh oui : toi ! Je te ...
    ... veux, toi, répondit-il en s’approchant et en posant ses deux mains sur les épaules de Christine. Il se colla contre elle et l’embrassa dans le cou. Christine sentait les mains de Thomas qui glissaient partout sur son peignoir. Elle fermait les yeux et se dit que maintenant, c’était trop tard. Les mains de Thomas caressaient Christine partout : ses seins, son ventre, ses cuisses. Elle frissonnait. Il continuait à l’embrasser partout dans le cou. Puis sa langue arriva à son oreille droite et il commença à la lécher. Elle sentit qu’il essayait d’ouvrir son peignoir. Elle fit demi-tour pour lui faire face et lui dit : — Il ne faut pas, Thomas ! Ce n’est pas bien.— Ce n’est pas bien d’avoir envie de toi ? J’en ai envie depuis que je t’ai revue. Et il l’embrassa à pleine bouche. Sa langue violait la bouche de Christine qui lui rendit son baiser. Les mains de Thomas remontèrent le peignoir et il accéda à ses fesses qu’il malaxa avec force. Christine sentait chez lui un désir féroce. Ses mains la cherchaient partout par des caresses fortes et désordonnées. Ils continuaient à s’embrasser, puis elle s’écarta pour dire : — Doucement, Thomas. As-tu déjà fait l’amour avec une fille ?— Oui, une fois, et cela s’est pas très bien passé, répondit-il en continuant à la caresser.— Ne te précipite pas : on a le temps. Enlève ton bermuda et ton tee-shirt, et assieds-toi sur le canapé. Il se retourna et s’exécuta. Il fit ensuite demi-tour pour s’asseoir, et Christine pu voir sa virilité complètement ...
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