Christine se transforme en cougar
Datte: 01/09/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
Oral
pénétratio,
init,
inithf,
bourge,
... hein, c’est bon ! Ma bite bien dure en toi, tu aimes, hein, tu aimes, salope ?— Ouiii j’aime, ouiii j’aime. Prends-moi encore, baise-moi à fond !— C’est bon, hein, ma salope ! Thomas accentua la cadence, et à chaque coup de reins Christine criait. Il labourait ce sexe tant qu’il pouvait, heureux de donner du plaisir à cette femme et heureux de prendre énormément de plaisir aussi. Christine eut un second orgasme violent et elle hurla son plaisir. Deux coups de reins plus tard, Thomas se vida en elle en grognant aussi puis il retira son sexe et le posa sur le ventre de sa maîtresse. Christine le prit avec une main et le branla encore un peu. Quand il a joui en elle, elle a senti comme une vague puissante de sperme tapisser son vagin. Jamais elle n’avait eu cette sensation, ce qui provoqua chez elle comme un trouble d’avoir découvert ça à son âge ; et puis, cela faisait des années qu’elle n’avait pas vu un homme jouir deux fois, et sa surprise fut énorme au moment où il l’a pénétrée car elle pensait qu’avec sa première jouissance il se serait arrêté là. Il faut dire qu’elle n’a jamais fréquenté de véritables étalons, et des jeunes non plus. Elle lui demanda en reprenant ses esprits alors qu’il était revenu s’asseoir : — Tu as apprécié, j’espère ?— Oh, que oui ! Et toi ?— À ton avis ? Pour un grand débutant, c’était super bien.— Je préfère les travaux pratiques que les films pornos, dit-il.— Tu en regardes souvent ?— Assez, oui. Elle embrassa Thomas et alla à nouveau à la salle ...
... de bain car elle commençait à sentir le sperme couler entre ses cuisses. En la voyant de dos, Thomas lui dit : — J’adore ton cul ! Il est magnifique, comme toi. Elle sortit quelques instants après, remit son peignoir. Thomas n’avait pas bougé. — Tu veux un verre maintenant ? demanda-t-elle.— Comme toi, merci. En servant les deux verres, elle lui dit : — Ta mère ne doit jamais être au courant de ce qui s’est passé.— Je ne suis pas idiot quand même. Ce qui s’est passé, tu dis, ça veut dire qu’il ne se passera plus rien ?— Je crois que c’est mieux. On a fait l’amour, et bien, mais il ne faut pas continuer. La raison faisait dire cela à Christine, mais son esprit pensait le contraire. Il se leva, s’approcha d’elle. Elle sentait sa présence dans son dos. Il posa ses mains sur les hanches de Christine et l’embrassa dans le cou. Christine ferma les yeux. Elle appréciait cette douceur. Puis les mains de Thomas commençaient à redevenir baladeuses. Il la pelotait partout à travers le satin du léger peignoir. Sa langue trouva l’oreille gauche de Christine. Elle frissonna. Il se colla à elle pour qu’elle sente son érection renaissante. Cette femme l’excitait terriblement. Il la trouvait très belle et désirable. Il a toujours fantasmé sur les femmes mûres. Maintenant il bandait à nouveau et dit : — Pose tes mains sur le bar ; je vais te prendre comme ça par derrière.— Tu n’en as pas eu assez ? Tu es insatiable !— Oui, de toi. Tu me fais trop envie. Elle posa ses mains sur le bar. Elle se ...