COLLECTION BLACK. Mon fantasme (2/3)
Datte: 02/08/2019,
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Dans la zone rouge,
... gardée d’étaler, même à mes meilleures copines que sont Agnès et Antoinette, elle n’aurait pas pu me faire plus plaisir si tenté que ces garçons sont là pour être consommé. Mon string en l'apercevant reçoit une petite giclée de plaisir qui doit légèrement l’humidifier. Parmi les autres serveurs, deux garçons blonds sont des jumeaux, je pourrais croire que mes gendres sont venus de La Rochelle, nous rejoindre, comme eux, il m’est impossible de les différencier, faudrait-il que je voie leurs verges pour savoir qui est qui ? Par deux fois au cours du repas, c’est mon beau souvenir qui me sert, par deux fois, je glisse ma main sur le côté et je lui passe une main aux fesses qui reçoivent un accueil semblant favorable. Que m’arrive-t-il, moi qui avais réussi à enfermer au fond de moi mes envies de sexe noir, pourquoi ce soir, ma chatte se réveille et me fait sentir qu’elle a faim ? Est-ce l’évocation de mes souvenirs ayant amené mon dépucelage par Sambou ou la vision de mon mari sur sa passerelle avec sa petite femelle qui ne lui semblait pas hostile ? Il fait nuit, quand tous les cinq reviennent de la cuisine encadrant mon bois d’Ébène, nom donné aux esclaves qui partaient de l’île de Gorée pour être vendus comme je l’ai expliqué au début de mes confidences. Il fait nuit, quand ils tiennent dans leurs mains une omelette norvégienne qu’ils enflamment dès qu’ils ont passé la porte. Il fait nuit lorsque les stores se ferment et que des lumières tamisées s’allument. Il fait nuit ...
... lorsqu’une musique endiablée surgit de nulle part ou plutôt du système entièrement intégré qui gère tous par un ordinateur qu’Adeline commande à distance. C’est sur cette musique que nos serveurs ayant posé sur la table l'omelette encore allumée, en tenue de scène se mettent à danser, c’est des chippendales engagés par notre amie, pour faire le show de fin de soirée. Rapidement, je déplace ma chaise pour mieux les voir et par là même occasion, me retrouve avec Magali et Louisette face à mon beau noir. Chaque fois qu’ils enlèvent l’un de leurs vêtements, des cris fusent, nous sommes de vraies midinettes surtout moi qui ne peux plus détacher mes yeux de mon éphèbe noir. Ils finissent en string, je suis frustrée quand les lumières s’éteignent et que la musique s’arrête, vite oubliée quand la musique repart et qu’ils réapparaissent dans de nouvelles tenues finissant toujours en string que je rêve d’enlever à mon adonis. Cinq tableaux, cinq danses, de plus en plus suggestives. Enfin, ils s’approchent de nous et mon apollon vient se placer à hauteur de ma figure faisant tourner son sexe à hauteur de mes yeux. Il a dû remarquer que j’étais celle qui le regardait le plus intensément, je dois reconnaitre que le mouvement de ma main appuyant sur ma robe de soirée à hauteur de mon sexe, ne doit pas être étrangère à ce qu’il me remarque. J’ai envie d’arracher ma robe et de me mettre la main dans la chatte pour éteindre ce feu qui vient brûler mes entrailles, depuis ma séparation d’avec ...