Promenade en Forêt (3)
Datte: 02/08/2019,
Catégories:
Zoophilie,
... retirer de la gueule. Je fis courir, et sauter, et courir encore. Plusieurs fois, me mettant à genoux quand il revenait vers moi, je le pris à bras le corps en riant, dans une fausse bagarre improvisée, guettant ses réactions, espérant qu’il tenterait un geste de domination, en m’agrippant entre ses pattes de devant comme pour me monter, comme font tant de chiens... Mais non, à chaque fois, il me laissait faire, et se laissa tomber au sol, sur le dos, pour offrir sa gorge à mes caresses. J’en profitais alors pour étendre mes caresses bien au-dessous de sa gorge... sur sa poitrine, ses flancs, l’intérieur de ses cuisses puissantes... J’effleurai deux ou trois fois le fourreau de fourrure où son sexe restait sagement rangé, pour, là aussi, tester ses réactions : il ne semblait pas en prendre ombrage du tout. Ce que ce jardin avait de bien, c’était qu’il était absolument sans aucun vis-à-vis, entouré des deux côtés par des murs de briques rouge de 2 mètres de haut sur lesquels poussaient des plantes grimpantes, le fond étant fermé par le mur de derrière, aveugle, d’un entrepôt. Ainsi, je m’y sentais en pleine sécurité, sans risque que quelqu’un s’étonne de me voir jouer ainsi avec ce chien, sans retenue. Enfin, alors qu’il venait de ma ramener sa balle et que j’apprêtais à la relancer, le chien agrippa ma jambe d’appui et mima l’accouplement. Finalement, l’excitation du jeu lui agitait les hormones ! Il était temps, je commençais à désespérer. Je le laissai faire en lui disant ...
... sans crier : « Et bien, mon chien, et bien ? Que fais-tu là ? » Je me penchai pour lui gratter la tête, en jetant un coup d’œil sous son ventre pour voir s’il avait un début d’érection. Mon cœur bondit dans ma poitrine lorsque je vis un bout rouge émerger de son fourreau. Je touchais au but ! Je l’énervai encore un peu plus en jouant, puis, soudain, je fis mine de m’enfuir vers la maison en courant, et entra dans ma chambre par la porte-fenêtre. Le chien se mit à courir à mes côtés en jappant, tout excité. Je pris une vielle couverture et un dessus de lit dans l’armoire, et je continuai ma fuite vers le salon, le chien toujours sur mes talons. Je jetai le dessus de lit sur le canapé et la couverture par terre, et me remis à jouer avec Dick dans le salon, le titillant, l’agaçant... Je n’en revenais pas : tout était en place pour me permettre de passer un bon moment, toute seule avec ce chien d’amour. Plusieurs fois, il m’agrippa la jambe pour tenter de me monter. A chaque fois, je le laissais faire quelques instants, avant de le repousser gentiment, pour parachever son excitation. L’heure était venue de vérifier si les recommandations lues sur le net étaient efficaces : je m’écroulai par terre au bord du canapé. Le chien vint près de moi, mais au lieu de m’entreprendre, il monta à-demi sur le canapé, les pattes avant sur l’assise et les pattes arrière au sol ; il recommença à balancer son bassin de manière frénétique... J’étais très excitée par la situation, le souffle court, ...