1. Promenade en Forêt (3)


    Datte: 02/08/2019, Catégories: Zoophilie,

    Sur le chemin du retour, mon pauvre vagabond à poils se roula en boule sur la banquette arrière et dormit sans demander son reste tout le voyage. Arrivé devant chez moi, je me garai, arrêtai le moteur et sorti de la voiture, ce qui le réveilla. J’ouvris la porte arrière et il descendit en haletant, tirant la langue. Je me dis qu’il devait être assoiffé. En ce temps, j’habitais une maison mitoyenne qui ouvrait directement sur la rue, avec un jardin à derrière. Je fis entrer mon nouvel ami, et je me rendis à la cuisine où je pris un petit saladier en inox en guise d’écuelle et je le remplis d’eau fraiche. Le chien suivait sur mes talons et manifesta son impatience en entendant l’eau couler dans le récipient. Je me baissai pour poser l’écuelle devant lui, et il se mit à laper bruyamment, longuement. « Mon tout doux, tu avais soif, n’est-ce pas ? ». En guise de réponse, il remua la queue sans s’arrêter de boire pour autant. Pendant ce temps, je me mis en quête de ce que j’allais pouvoir lui donner à manger dans mon frigo, et je lui préparai une assiette avec des restes de poulet rôti, accompagnés de saucisses de Strasbourg, le tout coupé en morceaux. Je comptais sur le fait- qu’il devait certainement avoir faim pour ne pas faire le difficile, et me dis que j’irai acheter des croquettes plus tard. Je mis l’assiette à côté de l’écuelle, et le chien passa directement de l’un à l’autre, et se mit à manger avec visiblement bon appétit mon repas. Qu’allais-je faire de lui ? Bien ...
    ... sûr, toute à l’heure, encore très échaudée par mon aventure avec le bel étalon, des pensées inavouables m’avaient traversé l’esprit au sujet de ce petit compagnon à quatre pattes... Mais maintenant que du temps s’était écoulé, ce pauvre chien perdu m’inspirait surtout de la pitié. Quel être humain pouvait décider d’abandonner ainsi animal ? Mais peut-être était-il simplement perdu ? Quoique l’absence de collier sembla accréditer la première hypothèse. Je résolus de vérifier plus tard s’il n’était pas tatoué... Ce qui ne prouverait rien s’il ne l’était pas, mais enfin... le laissant finir son assiette, j’allai prendre une bonne douche, bien agréable après l’après-midi que je venais de vivre. Je me déshabillai, et jetai mes affaires dans le panier à linge : elles exhalaient une odeur de cheval prononcée, et malgré mes précautions quelques traces du sperme de mon bel étalon apparaissaient sur le jogging comme sur le tee-shirt... Je me glissai ensuite sous le jet d’eau tiède, et sentir le liquide s’écouler sur ma peau me fit un bien fou. Je laissais l’eau tombante entrer dans ma bouche pour la recracher ensuite, plusieurs fois, pour me défaire complètement du gout amer et salé du viril animal. Je restai longtemps sous l’eau, à grands renforts de gel moussant. Fermant les yeux, je revis les images de cette scène inoubliable. Cette queue tendue, énorme et offerte à mes mains et à ma bouche. La vision de ces gros testicules rebondis depuis le point de vue du bout de son sexe, que je ...
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