1. Dessous de table


    Datte: 03/08/2019, Catégories: Mature, Première fois

    ... peur qu'elle devina trop tôt que je bandais. Un sourire méchant barrait son visage. Elle sollicita le papier que j’avais si laborieusement récupéré en ces termes : "Tu en as mis du temps. La lecture devait en valoir le coup. Passe !" Elle affecta de le lire avec le même sourire.A partir de cet instant je fus convaincu du vice de cette personne. Elle ne dédaignait pas les cochons dans mon genre. Je compris peu à peu la jalousie de son copain laquelle était raisonnée et tout à fait légitime. Le pauvre s'était accoquiné avec une femelle de la pire espèce. Il était indubitable qu'elle jouissait à exciter et faire bander autour d'elle. J'étais sa énième et banale victime. Non contente de m'émouvoir elle passa peu après à l'attaque avec une relative insolence. Elle me demanda si j’avais une épouse ou amie ce que je lui confirmais. J'étais mariée avec deux gosses. Je lui laissais entendre que c'était depuis réfrigéré au pieu. Bref j'étais open à toutes propositions.Elle n'en allumât que plus. D'évidence elle mit les jours suivants une jupe plus courte ou du moins avais-je l'impression que celle-ci lui découvrait impunément la cuisse. J'en étais gêné devant nos clients et administrés. L'un vieux cochon tunisien me fit observer avec un clin d’œil que ma collègue n'avait pas froid aux yeux de se balader ainsi au milieu ds hommes. Dans la rue nous ne passions pas inaperçue à cause d'elle. J'en éprouvais un certain malaise. Je me trouvais à accompagner une salope ou femme de mauvaise ...
    ... vie. Elle au contraire semblait se réjouir de susciter pareille et sulfureuse impression. Plus d'une fois eu-je envie de lui mettre la main au cul.En tout cas au café l'après-midi il s'établit un jeu et comme un rite entre nous. Régulièrement décidais-je de faire choir une feuille ou mon crayon et d’aller les récupérer un temps certain sous la table. Elle adhérait à cette sorte d'apnée. J'avais droit dessous à un singulier spectacle. Elle passait longuement un de ses doigts sur sa culotte mi-transparente que je percevais mouillée. Puis elle extirpait nonchalamment son joli pied puissant et sensuel d'un de ses escarpins et s'en caressait tour à tour l'un l'autre mollets. J'en devenais dingue. Elle n'escomptait pas d'autre résultat. J’émergeais de dessous bouleversé et pris comme de vertige.Tout cela se passait de mots n'usant que du langage des regards. Le mien lui signifiait déjà que j'avais envie d’elle et la voulait posséder avant qu’elle ne me quitte. Elle avec un regard méchant et de défi me signifiait qu'elle suspendait pour l'instant sa décision et son verdict. Un jour après qu'elle eût reçut un SMS elle dit mi-excédée : "Gonflant tous ces types jaloux. Tu sais j'ai du raconter à mon mec que t'étais moche et bègue et que tu puais à cent mètres alentour. " Je goûtais moyennement le personnage dont elle m'avait affublé. Cependant subliminalement je compris qu'il ne lui était pas exclu que je pus la sauter.Il nous restait trois jours. J'étais résolue à ne plus me contenter de ...