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Dessous de table
Datte: 03/08/2019, Catégories: Mature, Première fois
... ses cuisses exhibées sur la route et de la reluquer longuement sous la table des cafés. Dans les toilettes de ces derniers elle devinait des fois que j’allais m'y branler et y cracher mon foutre. Cela devait à force l'intriguer et l'exciter. Un midi et après qu'au déjeuner nous eûmes un peu forcé sur la boisson, elle se lâcha et m'avoua qu'elle savait que je me branlais souvent à cause d'elle. Sans sourciller j'en convins et avec aplomb lui demandais si elle accepterait qu'une prochaine fois je me branlas devant elle. J'obtins ce privilège le lendemain. Dégrisé et un peu penaud du propos de la veille j'avais cru que celui-ci avait été enfoui. Je pensais surtout qu'elle avait voulu m'humilier.Machinalement mes regards allaient tantôt de la route à ses cuisses que je me résignais bientôt à ne plus contempler. J’entendis soudain : "Aimes-tu mes cuisses ?" Je dus avoir un regard triste. Celui-ci disait : Oui en même temps qu'il avouait sa tristesse de son proche départ. Elle m'adressa un sourire sincère presque ému. Elle dit : "Arrête toi dans un coin. J'ai envie de fumer." Là après que nous fûmes arrêtés à l'orée d'un bois elle dit avec sérieux : "Veux-tu te branler pour moi ?" Ce vœu ne souffrait nulle contestation. Je m'exécutais sur le champ. J'observais son regard à mesure que celui-ci devenait lubrique. Je savais ma bite de belle taille. J'en vins à l'astiquer jusqu'à ...
... éjaculation.Après l'aveugle frénésie, je demeurais yeux mi-clos comme mort sur mon siège. Je sentis alors sa main sur ma queue qu’elle s’employait doucement et comme avec affection. Elle parvint à ranimer celle-ci peu à peu. Dans ce rêve je savais ne pas devoir rouvrir les yeux de crainte qu'Eurydice sur le champ disparut. Peu après je sentis sa bouche, sa langue sur mon gland elle avait entrepris de me sucer. Je perçus que c'était son cadeau. Celui de l'adieu. Un zeste de sperme advint à nouveau et fut recueillie dans sa bouche. Nous tînmes à ne proférer nul mot et à conserver le silence sur la suite du trajet. J'étais heureux et content de ce qui pouvait me paraître une victoire.Les deux derniers jours j'eus droit ainsi à lui pouvoir caresser la cuisse et hasarder la main souvent jusqu'à la culotte pour s'y enfouir. Je lui arrachais ainsi de petits cris de jouissance. J'obtins enfin de lui manger la bouche avec la mienne. Rangeant la voiture sous des arbres je parvins ainsi à la baiser. Elle était autant chaude et lubrique que j'espérais. Quel fabuleux volcan. J'ai peu rencontré pareil tempérament. Cela dura une heure. Je ne fus pas peu fier de lui montrer ma vigueur et mon endurance. La salope goûtait particulièrement d'être enculée. Je découvrais ce cul tant de fois et ignoblement moulé dans des mini-jupes. Je soupirais de devoir bientôt retrouver le falot Philippe.