1. Section TG (13)


    Datte: 03/08/2019, Catégories: Transexuels

    23- A cause d’Isabelle, je perdais tout mon travail. Mais bon, mon téléphone enregistrerait quand même les arrêts des voitures du couple. Je pourrai toujours aller vérifier ensuite et me faire une idée. Je retrouvai ma nouvelle amie à l’endroit et à l’heure convenue. On alla manger une choucroute puis on rentra doucement. — Tu montes prendre un verre ? demanda-t-elle — D’accord, répondis-je en souriant de ce changement de situation. Cette fois, elle avait acheté une bouteille de Bailey. — J’ai beaucoup pensé à ce que tu m’as fait l’autre jour. Et j’avoue que ce n’était pas désagréable du tout. Meilleur même que lorsque je me ... Enfin, tu vois ce que je veux dire. — Contente que ça t’ai plu, dis-je. Isabelle se tut. Mais je sentais qu’elle mourrait d’envie de me demander quelque chose. Quelque chose dont je savais déjà ce que c’était. Mais je décidai de la laisser mariner. Elle remplit à nouveau les verres. — Est-ce que tu accepterais de recommencer ? demanda-t-elle d’une traite. J’éclatai de rire. — Tu es trop mignonne ! Bien sûr que j’accepte. Et pour ne pas risquer de rompre le charme, je me penchai vers elle pour l’embrasser. Cette fois, elle ne se défila pas et accepta mes lèvres et ma langue. On s’allongea sur le canapé, moi sur elle, ma bouche contre sa bouche, ma main sur son sexe par-dessus le pantalon. Elle me serra dans ses bras, prolongeant notre baiser qui devint de plus en plus torride. — J’ai trop envie, dit-elle. Elle m’entraina vers sa chambre. On s’embrassa ...
    ... une nouvelle fois. J’avais de plus en plus de mal à réprimer mon érection. Isabelle ne savait rien de ma vraie nature et je voulais qu’elle le découvre autrement que par une bosse au niveau de mon jean. Je la poussai sur le lit et lui ôtai son pantalon. En une semaine, elle n’avait rien fait au niveau pilosité, pas plus que dans le choix de ses dessous, dessous que n’aurait pas reniés ma grand-mère. — Pfff ! dis-je un peu déçue. — Qu’est-ce qu’il y a ? demanda Isabelle, inquiète. — Ça ! Ça, ça va pas, répondis-je en tirant sur les poils pubiens. Tu as un rasoir et de la mousse ? — Euh ... oui — Alors salle de bains d’abord. — Tu vas ... ? — Oui ! La tarte aux poils, c’était bien dans les années quatre-vingt, même si je n’étais pas née. Aujourd’hui, c’est le règne du minou tout lisse. Isabelle me suivit, malgré elle. Je la fis assoir sur le rebord de sa baignoire. Je mouillai sa touffe et la tartinai de mousse à raser qu’elle m’avoua utiliser pour les jambes. Puis je commençai le débroussaillage. Bien sûr, les doigts de ma main libre jouaient avec sa fente et son bouton, tant et si bien que cette séance fit office de préliminaires. Elle serra les dents et tenta de ne pas bouger lorsque je passai ma lame autour de sa vulve. — Tu iras chez l’esthéticienne pour le reste, dis-je en montrant les poils sur ses cuisses. Ça fait désordre. Je rinçai son minou tout lisse et me penchai pour le lécher. Isabelle serra les cuisses sur ma tête, savourant ma langue. — On va dans la chambre ? ...
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