1. Section TG (13)


    Datte: 03/08/2019, Catégories: Transexuels

    ... enceinte. J’étais encore trop jeune pour être papa, ou maman, ou paman. Je lui fis l’amour doucement. Isabelle gémissait. Mon plaisir monta en même temps. Je me retirai et la forçai à se retourner. J’agrippai ses hanches et revins en elle. Ses gémissements se muèrent en petits cris. J’avais de plus en plus de mal à me retenir. Je quittai le doux fourreau, cherchant où m’épancher. Son petit trou me fit de l’œil. Je tentai d’entrer, sans succès, évidement. Ma semence gicla, maculant son fessier. — Alors, tu as aimé ? demandé-je. Même si je suis un peu bizarre. — Oui. Il y avait trop longtemps que je n’avais pas eu une queue en moi. Tu crois que tu serais capable de recommencer. — Si tu m’aides, je devrais y arriver, répondis-je en souriant. On refit l’amour et, cette fois, j’enfilai une capote. — Je reviens demain après-midi et on va faire du shopping, dis-je sur un ton autoritaire. J’en ai marre de te voir dans la même tenue. — Mais ... — Il n’y a pas de mais ! 24- Je rentrai chez moi au milieu de la nuit. Je remis le son sur mon portable et constatai avec regret que la Fiat de Mme le député avait bougé. Je jetai mes clés sur la table et allumai mon ordinateur. Les coordonnes GPS m’envoyèrent dans la zone industrielle. Je doutai fort que Madame Marquant aille voir un fournisseur à dix heures du soir, et encore moins prendre rendez-vous avec une copine dans un tel lieu. Il était clair que j’avais raté la suite du trafic du député. J’espérai que l’occasion se représenterait ...
    ... très vite. Comme convenu, je retrouvai Isabelle à quatorze heures chez elle. Elle tenta de se trouver toutes les excuses possibles pour éviter la corvée, mais je fus inflexible. Je la trainai donc dans la rue commerçante et nous entrâmes dans plusieurs boutiques, sans qu’elle puisse se décider. — Tu as intérêt à choisir, car on ne partira pas les mains vides, dis-je d’un ton légèrement en colère. Et crois-moi, l’après-midi va être longue, très longue. Moi, ça ne me dérangeais pas. D’abord, j’aimais bien faire les magasins. Un effet secondaire des hormones surement. Ensuite, on avait été entrainées pour être résistantes à l’effort et à la douleur. Isabelle comprit enfin qu’elle ne gagnerait pas et finit par jouer le jeu. Elle se décida pour trois jupes, deux robes et quelques hauts assortis. Elle rechigna un peu plus lorsqu’on entra dans un magasin de lingerie et restait réfractaire la dentelle la plus ajourée. On termina par les boutiques de chaussures. Si je ne la forçai pas à mettre des talons aiguilles, il était hors de question qu’elle reste à plat. On rentra enfin. Isabelle se laissa tomber dans le canapé. — Tu m’as tuée ! Je te hais ! Sans parler de mon compte en banque que tu m’as obligée vider. — Il faut bien que tu dépenses un peu ton salaire non ? Tu en fais quoi de tout ton argent ? Elle ne répondit pas. — Je vais prendre une douche, dit-elle. Je reviens. Je la laissai partir, puis je me déshabillai et je la rejoignis dans la salle de bains. — Mais qu’est-ce que tu ...