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Les fourberies de Maya 2 : L'hommage
Datte: 01/09/2017, Catégories: fh, extracon, alliance, campagne, amour, volupté, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, humour,
... En me chuchotant dans l’oreille que je suis son autre, sa faiblesse, son insolence et que ce n’est pas juste, qu’elle aurait bien voulu, elle sanglote discrètement dans mon cou en me suçant le lobe et des petits cheveux… Une jolie larme étincelante coule lentement et s’évanouit dans la ligne ombrée du milieu de ses seins. À cet instant biblique de notre immense joute sacrée à laquelle aucun de nous deux ne plus échapper, à cette seconde féerique où la genèse donne enfin un sens à nos inclinations, sur la table de nuit toute proche, la sonnerie du téléphone retentit. Regrets, déplaisirs… Je m’étonne. « On décroche ? » Regards. Hésitations. Elle sourit. « Non, Maya, non, laisse tomber ! » Réflexion. Elle jubile. « Je suis certaine que c’est Walter ! » « Justement, laisse… ! » « Non, c’est trop, Fab… Tu plaisantes ? » Provocation ! Elle exulte. Maya déloge effrontément son bras droit emprisonné de notre nœud gordien. Sur sa joue, sur son cou et tendrement entre ses seins, je lèche le long filament d’argent esquissé par sa larme perdue. Je suspends mes emportements. Immédiatement sa main gauche les relance. « Non, ne t’arrête pas, ça m’excite d’enfer ! » Ravi, je reprends mes livraisons de coups d’amour et de tamponnements pénétrants… Les yeux embués elle décroche. Je m’immobilise encore. Elle passe le fil du téléphone derrière ma nuque pour me ligoter à elle. Puis sans un bruit je vois le combiné noir rejoindre son oreille. Elle dit allô. Elle écoute mais son masque reste ...
... impassible. Instantanément elle tire un coup sec sur le fil noir, m’emprisonne et m’ordonne de poursuivre mes chevauchées fantastiques. Elle étouffe le combiné avec ses doigts. « Fabian, continue, baise-moi mon chou, baise-moi ! » Comme dans un western filmé au ralenti je lui enchante son grand canyon en silence, je galope dans sa vallée, je retiens mes yahoos, elle maîtrise l’écho de ses hip-hip-hips… Je comprends soudain qu’il s’agit bien de Walter. Cette fois je me fige. Mais pas ma groupie dont le front plissé comme une squaw me gronde un max. « Encore, Fab, encore ! Tu ne peux pas savoir comme c’est jouissif ! » Elle en veut non-stop de mes loving you, de mes tenderly et de mes fucking good ! Mais chut…! Alors je l’ouvrage en silence façon dentellière… Point d’échelle ajouré ou point de dentelle strié ? Peu importe elle s’évase. Point d’échelle croisé ou point de feuilles de lierre… Elle monte ses genoux à l’équerre. Elle hoche la tête, elle parle à son homme, elle opine, elle réfute… Elle répond à Walter de vagues boutades sans importance qui éloignent son esprit de son corps et ses pensées de son sexe. C’est le must de la fornication ! Le sport extrême de la lascivité ! Le cul qui jouit dans la dentelle et la tête contre les murs… Maya aime, elle adore, plus que tout elle aime, c’est beau comme elle aime, c’est fou comme elle aime… (d’après Michel Berger). Elle répète à Walter qu’elle a hâte d’être à ce soir pour lui faire trépigner sa gaillarde sous les couvertures. Oui, ...