1. Les fourberies de Maya 2 : L'hommage


    Datte: 01/09/2017, Catégories: fh, extracon, alliance, campagne, amour, volupté, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, humour,

    ... elle rajoute qu’elle n’en peut plus d’attendre, à en avoir un orgasme téléphonique là, dans quelques minutes maintenant… Il chevrote, il s’étonne. Elle lui répond qu’on s’occupe d’elle avec un joujou extra et que c’est comme s’il lui faisait lui-même l’amour. Bêtement Walter demande qui. Elle lui avoue – minaude - qu’elle se doigte… alors que… vite, au revoir mon chéri, vite, vite parce que ça va le faire grave, bisous ! Elle raccroche. Elle me regarde, elle me défie. « Sautez-moi, ou j’appelle à la garde, monseigneur ! » Avec force détermination, Maya remet ses ballons au centre, m’enlace des bras, des cuisses, des jambes et des pieds. Maya m’aime en suspension. J’aime Maya… Infiniment. « Il m’énerve le Suisse Allemand ! Quel gnangnan celui-là ! Pour le quart d’heure, mon joujou extra, c’est toi ! Oh ! Dis Fabian, tu voudras bien compter ? Rien que pour moi ? » En encourageant le tohu-bohu de nos chairs, elle me suggère timidement de « compter ». Je suis surpris car « compter », c’est une de ces confidences intimes que je lui ai faites l’an dernier à propos des corps à corps ludiques et passionnés que je pratique assidûment avec sa petite sœur. Maya n’a pas oublié. Certes, elle connaît aussi ses tables de multiplication par cœur, mais de toute évidence je n’ai jamais compté avec elle. Mettant à profit la situation, elle s’installe en rivale. Ambiance Dallas ou Dynastie, mais je ne lui réponds pas. « Alors, mon grand ? C’est quand tu veux, Fabian ! Tiens, je retire mes ...
    ... lunettes… » Je la néglige, je la retarde. À chacune de mes faveurs en périnée, à chaque conquête perçante et percutante de sa foufoune en folie, mes testicules gonflés de faims spermatiques viennent battre et rebattre goulûment ses fessiers, au plein centre ciblé de ses cuisseaux. Juste entre ses bas tendrons souplement duvetés… « C’est un banquet, marquise, auquel vous m’invitez ! » Je la prolonge à l’envie. Les courbes molles de ses seins épanouis tressautent en duo dans le même tempo ! Oui, c’est un festin royal ! Réjouissances salaces, jongleries osées, audaces, roulements de tambours et cabrioles bouleversantes ! Musique Marin Marais ! Déclinaisons pour viole de gambe, stimulations cambrées, mouillettes à la coque, vocalises sur toute la dame, retards lancinants sur les dièses érectiles pour mieux en limer les bémols. Mon doux pénis habitué à la viole suscite les pauses pour fantasmer les poses. Tout est fait pour ma Mie afin qu’elle s’en repaisse ! Ô Sainte Colombe, par-dessous, par-dedans, vous m’accablez de chaleurs montantes ? « Maintenant, Fabian, comme je vois trouble, je ne te repère qu’avec la pulpe de mes doigts ! Houlà ! Tes deux petites sacoches sont tellement pleines ras bord que j’ai plaisir à te les gazouiller moi-même à présent ! Halte ! Voici venir la pointe de mes ongles vernis, mon cher ! Boursicoti, boursicotons ! Bouleversons la paire par-ci, bouleversons la paire par-là… » À son tour, elle me néglige, elle me retarde. Je serre les dents, je meurs de ...
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