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Les fourberies de Maya 2 : L'hommage
Datte: 01/09/2017, Catégories: fh, extracon, alliance, campagne, amour, volupté, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, humour,
... Bande dans ta bonne meuf !… Oh, la bonne travailleuse ! Qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli, tienne jusqu’à la fin mon théâtre rempli (d’après Boileau). Encore, oui, ja, encore, encore ! C’est cadeau mon amour ! » Là, dans cet étrange espace de vie, pour nous deux pauvres pécheurs, le divin cul rassasié est un culte naturellement festoyant, un trou de verdeur joviale, un roseau jubilatoire dans un bain de jouvence… Par pensées cachées, par paroles tues, par actions espérées… Mais jamais par omission d’humour ! Ainsi, de toutes nos rencontres, de toutes nos complicités, il ne nous manquait que trouver la paix dans ce rut religieux sacrificiel pour nous tirer ensemble cette sainte crampe éternelle. Dans une autre vie, j’ai dû fréquenter cette famille épique dont la tante Etiennette est probablement le gourou et où chacun peut, dans un moment d’oisiveté égrillarde, embaucher l’autre gratuitement pour combler ses vices et pourvoir à sa débauche… Parmi les convives du dîner d’hier soir, en dehors de Nattie que je savais sans culotte et de Walter, je me suis interrogé sur Anne, mère de Nattie et sœur cadette de notre hôte Etiennette. Anne qui nous monte régulièrement le petit déj’ dans notre chambre chaque dimanche matin à Vendarel. Mais en n’observant personne d’autre que moi et en fantasmant sur les protubérances suggestives de ma couverture. Questions sur Rilou, le mari d’Anne qui affiche joyeusement à l’adresse d’Etiennette, un gros tube de pommade dépassant de ...
... la pochette de sa chemisette… Aware ! Quant aux jeunes intellos de service, les D.E.A./D.E.S.S. satellites de la famille ou apparentés, j’imagine que leurs sexologues ruraux incitent régulièrement ces éphèbes à mastériser leur sensualité et leur libido à leur en faire sauter le kangourou congestionné de la poche, quitte à sécher les pleurs successifs de leur scoubidou. Il m’a semblé qu’aux entrées crudités variées, Etiennette en pinçait fort pour le jeune Louis, l’apprenti pianiste à qui elle piquait les radis les plus rouges dans son assiette pour en beurrer et en sucer le bout blanc… Qu’au rôti de bœuf pommes sautées, sous la nappe, Priscille remettait bien minutieusement la serviette sur les genoux de Gildas qui en rougissait d’aise et de gratitude tout en lorgnant dans son généreux décolleté préalablement déboutonné. Qu’aux fromages, Ursuline, la sœur de Louis et nonnette au couvent d’à côté, était particulièrement prévenante avec Anne qu’elle accompagnait sans cesse en cuisine en la tenant par la main. Qu’enfin au dessert, Sylvain regardait jalousement sa grande sœur Priscille replacer ses bretelles puis ses seins dans les bonnets de son soutien-gorge tout en provoquant Emma des yeux, Emma, la jeune doctoresse de la médecine du travail. Hier au soir, en montant à la mansarde par l’escalier arrière, dans la mince embrasure éclairée de la porte de la chambre d’Etiennette, j’avais discrètement surpris la tata gourou, buste nu et altier, debout mains et bras croisés sur la ...