1. Les fourberies de Maya 2 : L'hommage


    Datte: 01/09/2017, Catégories: fh, extracon, alliance, campagne, amour, volupté, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, humour,

    ... c’est pour la baise ! Puis à quatorze je te déborde. » « Pas terrible ta rime, pas très riche ! » « Jusqu’à quinze ta bouche m’rend dingue et je compte seize tu niques tu baises ! » « C’est dix-sept, j’remets mes lunettes… Oh! Oh, nom d’un chien les belles roupettes ! » « Jusqu’à vingt j’y mets les mains, entre les deux c’est pour vingt-deux, c’est toi et moi pour vingt-trois, à quatre pattes pour vingt-quatre, j’ouvre tes cuisses c’est pour vingt-six. » « Qu’est-ce que tu mates pour trente-quatre ? » « Pour trente-quatre je mate ta chatte, ça va être ta fête jusqu’à trente-sept. » « Fab, compte plus vite s’teplé… » « Pour toi ma meuf j’reviens à vingt-neuf, car à trente je hume ta fente. » « À un million t’es un cochon ! » « À trente et un, je pelote tes seins, à trente-deux, tu guignes ma queue… » « Qu’est toute pour moi à trente-trois ? » « Trente-cinq nitouche tu me la bouffes, à trente-six nez sur pubis et pour trente-sept lèvres ouvertes. Quarante et un je creuse tes reins, à quarante-six joues entre cuisses, quarante-sept chaud la quéquette et à cinquante j’embouche ta fente… » « Seigneur, pitié ! Je vais pisser ! » « Bonne rime ! » « Merci, Fab ! » « Je refais mon addition, mais pas si speed ta fellation. Cinquante et un j’t’en bouche un coin, cinquante-six tes lèvres glissent, cinquante-sept ho quelle sucette ! Je ne comprends rien à c’que tu m’dis, on n’ira pas à soixante-dix. À soixante-deux je bouff’ un cheveu… » « Et mes nibards valent un milliard ! » « Non, ...
    ... deux ! » « Heu, oui, deux ! » « Soixante-six nos joues nos cuisses, soixante-six bis ton clitoris, à soixante-sept popaul boxe ta luette, soixante-huit j’aime ton huître et ground zero sur ton clito! À soixante-neuf… À soixante-neuf ? Qu’t’es bonne ma meuf ! » L’étreinte chaleureuse de nos cuisses prudentes qui câlinent nos joues, l’union mouillée de toutes ses lèvres soumises qui recherchent ma langue, le ferme sac et ressac de mon sexe intrépide excité par sa bouche, sa main caressant mes cheveux qui abaisse ma nuque, mon nez inquisiteur qui se soûle d’effluves, la confiance de nos corps sans crainte du mal geste, le satin de nos peaux qui murmurent entre elles, nos souffles enamourés qui amusent nos chairs, nos doigts timides sur nos rosettes qui s’en vont et reviennent, des regards impolis mais que l’autre commande, des plaintes voilées d’allégresse qui supplient des « encore ! » et nos mains qui se serrent au point de se confondre… Je trouve à ce matin des parfums d’absolu… Jacques Brel, reprise, extrait Rêver, un impossible rêve, Porter, le chagrin des départs, Brûler, d’une possible fièvre, Partir, où personne ne part… Aimer, jusqu’à la déchirure, Aimer, même trop, même mal, Tenter, sans force et sans armure, D’atteindre l’inaccessible étoile… « Serge ? Fabian ? Soixante-neuf ! Il est ouf l’engin ! Il m’étouffe la touffe ! Stop ! Reviens, reviens vite sur moi petit mec d’amour… Oui, là c’est bien, elle est bonne ta meuf, pèse sur ta bonne meuf ! Entre dans ta bonne meuf ! ...
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