Mélanie, étudiante à Bordeaux (7)
Datte: 04/08/2019,
Catégories:
Trash,
— Tu es prête à renoncer à la fac pour devenir ma chose ? — Oui, Monsieur, s’il vous plaît. — Tu es prête à devenir mon esclave, à être percée et marquée, pour que tout le monde sache que ce que tu es et à qui tu appartiens ? Mélanie hésita quelques secondes, les yeux embués et perdus. Puis elle prit une profonde inspiration et répondit : — Oui, Monsieur. Je suis prête à renoncer à tout, et je vous laisse choisir ce que vous voulez faire de mon corps. — Tu signeras un contrat par lequel tu renonces à tout libre-arbitre au profit de ton Maître. Moi, ou tout autre Maître auquel je te vendrai ou louerai. Tu en as conscience ? — Oui, Monsieur. Je souhaite vous appartenir et vous laisser disposer de moi comme vous le souhaitez. — Je vais donc prendre mes dispositions pour que ton corps soit modifié. Il existe une clinique près de Paris pour réaliser les opérations dont j’ai envie. En attendant, je vais t’enchaîner dans la cave après t’avoir fouettée pour ta désobéissance. — Merci, Monsieur. Plus tard, enfermée dans sa cellule avec un stylo et quelques feuilles de papier, Mélanie tenta de rassembler ses esprits pour noter ce qu’elle acceptait et ce qu’elle refusait. Son corps menu était brisé, sa peau marquée de longues balafres boursouflées et violacées, certaines même saignant, ce depuis le mollets jusqu’aux épaules. Monsieur Lenoir n’avait rien épargné, ni sa fragilepoitrine d’où le sang perlait par de nombreuses coupures, ni son intimité qui avait triplé de volume et pris une ...
... vilaine couleur bistre. Bâillonnée et écartelée entre quatre chaînes qui la décollaient du sol, Mélanie n’avait pu que baver et se tordre vainement alors qu’il tournait autour d’elle en abattant son instrument, d’abord un long martinet, puis une cravache, et enfin une longue canne souple. Quand il l’avait libérée, elle était tombée comme une masse et il avait dû la retenir pour éviter qu’elle ne se blesse plus. Et maintenant, à travers les larmes qui brouillaient encore sa vision, elle lisait ce que proposait son nouveau « Maître » et cochait ce qu’elle acceptait. Et, à sa surprise, elle acceptait tout ce qu’il souhaitait. Il refusait de lui-même scato, nécro, copro…, limitait les modifications corporelles définitives à sa poitrine et à des tatoos et piercings à définir avec elle. Pour le reste, elle cocha tout, depuis l’uro jusqu’aux aiguilles, lames et tortures diverses, tant que ça n’attentait pas trop à son intégrité physique. Au contraire, un paragraphe insistait sur le soin qu’elle devait apporter à son corps par la pratique régulière de sports : gym, natation et footing, ou toute autre activité musculaire. Lorsque monsieur Lenoir redescendit, elle lui tendit les feuilles qu’il lut attentivement. Il sourit d’un air carnassier et remonta en annonçant : — Je vais mettre tout ça au clair et rédiger le contrat. Dans une petite heure, je serai de retour et tu signeras, si tu le veux toujours. Si c’est le cas, je te sortirai et je te fouetterai à nouveau, mais plus fort. Quel ...