Mélanie, étudiante à Bordeaux (7)
Datte: 04/08/2019,
Catégories:
Trash,
... instrument t’a fait le plus mal ? — Euh, honnêtement, la canne, Monsieur. — Eh bien soit. J’utiliserai la canne. Il revint une heure plus tard avec une bouteille de champagne couverte de buée et deux coupes. Il fit sortir Mélanie et elle s’agenouilla devant lui sans un mot. Il lui tendit une feuille marquée « Contrat d’esclavage » qu’elle parcourut rapidement en frissonnant. Elle savait, tout comme lui, que ce contrat n’avait aucune portée juridique, mais elle hésita malgré tout. Puis elle data et signa avant de rendre le document à son nouveau Maître. Il déboucha la bouteille de champagne et remplit une coupe, puis il sortit saverge et urina dans la deuxième coupe. Mélanie rougit en soupirant mais l’accepta et trinqua en silence avec monsieur Lenoir. Les yeux dans les yeux, ils burent leur coupe cul sec, scellant leur pacte. Tout au plus la jeune fille déglutit-elle difficilement le breuvage piquant et salé avant de poser sa coupe vide. — Maintenant que c’est réglé, il te faut un safe word, un mot de sécurité que tu dis uniquement lorsque tu ne supportes plus ce qui se passe. — Pourquoi pas « arrêtez », ou « stop » ? — Non, ça tu peux le dire et je continuerai. Je parle d’un mot hors contexte qui arrête tout. — Comme « champagne », par exemple ? — Exactement. Tu choisis ce mot ? — Ben... oui… Oui, Monsieur, corrigea-t-elle. — Tu vas devoir attendre pour le prononcer car je vais te bâillonner. Voici un petit tube d’acier ; tu vas le serrer dans ta main, et si tu le ...
... lâches, il aura le rôle de ton mot. Puis, comme il l’avait annoncé, il attacha son esclave en croix, les pieds suspendus à dix centimètres du sol, et il la battit. Longtemps et violemment. Bien sûr, comme annoncé, il avait pris la précaution de bâillonner Mélanie au moyen d’une grosse balle de caoutchouc maintenue par un large adhésif noir sur la bouche, sinon elle aurait hurlé à lui crever les tympans. Le visage rouge brique et les veines saillant sur ses tempes, les yeux injectés de sang, elle poussait des cris pitoyables qui déchiraient sa gorge. Les coups pleuvaient, n’épargnant que son visage. Son corps n’était plus qu’hématomes, plaies et marques profondes lorsqu’il jugea la correction plus que suffisante. Car Mélanie n’avait pas lâché le tube d’acier qu’elle serrait toujours, si fort que les jointures de ses doigts étaient blanches. Il libéra la jeune fille et la reçut des ses bras car ses jambes ne pouvaient la porter : elle gisait inerte contre lui, la respiration sifflante entrecoupée de sanglots. Il la souleva et l’appuya contre son torse pour la porter à l’étage, l’allongea sur son petit lit recouvert d’un drap blanc et lava soigneusement son corps avec un linge tiède. Puis il désinfecta chaque plaie après avoir forcé la jeune fille à avaler deux comprimés d’Ibuprofène. Il sourit car elle serrait toujours le tube qu’il détacha doucement de ses doigts crispés. Puis il étala avec tendresse un onguent apaisant et cicatrisant sur les zones lésées, en fait partout sauf le ...