1. Ma femme Nadia et mon petit zizi


    Datte: 07/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay Voyeur / Exhib / Nudisme

    Depuis le collège, Nadia avait décidé que j’étais son amoureux. Un jour, elle précisa que je serais son mari. Quand arrivèrent nos vingt ans, Nadia décida que je devais l’épouser. De ce jour, elle m’accorda le droit de l’embrasser sur la bouche. Nous connûmes les joies de la découverte du vrai baiser. Mais pour obtenir plus, je dus me résoudre à demander officiellement sa main à sa mère. Ce n’était qu’une formalité, la mère, plus émue que surprise, s’amusa à me faire décliner toutes les raisons qui inspiraient une telle démarche. Outre l’ancienneté de notre relation, je vantais la beauté de l’élue, son charme naturel et l’amour qu’elle me portait depuis toujours.- C’est tout ? As-tu vu son corps ? Sais-tu si vos corps se compléteront, si vous vous accorderez au lit ?- A vrai dire, ce sont des choses à découvrir quand nous vivrons en couple. Jusqu’à présent, Nadia a farouchement défendu sa vertu; en dehors de son visage et de ses membres, je ne connais pas son corps. Cependant, elle semble faite comme toutes les jeunes filles de son âge.- Bien, sois mon fils et épouse ma fille !Nous étions donc fiancés. Elle voulut bien découvrir sa poitrine devant moi. Je fus ébloui à la vue de ces deux globes délicats couronnés par une minuscule framboise. Elle m’accorda une caresse et je reçus prière de déposer sur le timide fruit rouge un baiser. Avec dévotion, mes lèvres se refermèrent sur ce bouton exquis, le roulèrent et ma langue le tutoya assez pour le sentir grossir et durcir. La ...
    ... deuxième framboise eut la même réaction à la même sollicitation. Nadia caressa mes cheveux, me remercia. Son visage avait rougi, sa respiration s’était accélérée, mais tout naturellement, ses mains rangèrent ses délicats ornements dans son corsage. Si je m’étais montré attentif à ses désirs, bien gentil comme elle aimait le reconnaître, quand nous étions seuls, je recevais en récompense le droit d’honorer ses seins, de les découvrir, de les baiser et même de les sucer comme le ferait plus tard notre bébé.Le mariage eut lieu. La petite taille de mon zizi, pendant la nuit de noces, étonna à peine l’épouse qui l’attribua à la fatigue et au stress dû à l’événement, aux nombreux toasts, au brouhaha de la fête.La nuit suivante, je fus plus vaillant et mon membre, sur commande manuelle étonnamment adroite de l’épouse, devint raide et dur, Nadia prit la pose, couchée sur le dos, jambes ouvertes, mains appliquées à me présenter son adorable sexe, vierge comme je dus le constater de visu. Où donc avait-elle acquis cette dextérité manuelle capable de dégeler mon petit oiseau?Elle était très fière d’avoir su se conserver intacte pour moi. Mais est-ce inné pour une femme de prendre la pose pour accueillir son mari? Elle m’invita fort gentiment à la rendre femme. Je pris le temps d’observer attentivement cet entrejambe enfin révélé, le contraste entre les grandes lèvres et les nymphes aux chairs si différentes. Nadia désigna en haut de sa fente une pointe minuscule, cachée et nomma son ...
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