1. Ma femme Nadia et mon petit zizi


    Datte: 07/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... clitoris. Un homme tendre et aimant se devait d’y déposer un baiser, comme sur les tétons.Avec application, je donnai des soins doux et humides à ce petit pois de chair. Je le suçai tendrement au point que ma jeune vierge manifesta, par petits gémissements et sursauts de son bassin, tout le plaisir qu’elle tirait de mes attentions et me signifia l’urgence de passer à l’acte. Le visage mouillé par ce contact, la bouche étonnée de l’étrange saveur de ce clitoris et de ses environs, à la demande de la mariée, je m’allongeai dans le berceau de ses cuisses, je dirigeai mon zizi tendu vers l’obstacle à franchir, plein d’appréhension mais aussi de bonne volonté. J’appuyai comme Nadia le voulait et je fus en elle beaucoup plus facilement et rapidement qu’elle ne l’avait prévu. Sa mère l’avait instruite, mise en garde contre de possibles difficultés et des douleurs désagréables, habituelles mais nécessaires lors d’un dépucelage. Elle s’attendait au pire, elle n’eut que le meilleur.L’avantage d’un petit pénis est de pouvoir entrer en évitant les gros dégâts. Dernier témoin de sa virginité, son sang macula nos sexes, un tour rapide en salle de bain remit les choses en ordre. Nadia me lava entre ses mains avec tendresse mais tiqua quand elle comprit pourquoi je m’étais introduit de façon quasi indolore. Je la repris et, selon ses indications précises, je fus actif, je me fis le plaisir de la conduire vers une jouissance qu’elle sut traduire en râles et plaintes d’amour. Ce qui prouve ...
    ... qu’une petite bite bien raide peut être aussi efficace, sinon plus qu’une grande paresseuse. J’en éprouvai un sentiment de légitime fierté. Il est vrai que la partie la mieux innervée du vagin se situe autour des sept ou huit premiers centimètres selon ce que j’en ai lu depuis. Moins instruit à l’époque, je fus un époux comblé d’avoir, dès la première fois, fait jouir la femme qui m’avait choisi. Et cette nuit, ses baisers devinrent mille fois plus savoureux que les baisers de fiançailles.Mon bonheur venait du plaisir que je lui donnai, elle se disait heureuse de me faire jouir. Un jour, je pus dire à ma belle-mère que nos corps se complétaient et que nous tirions, l’un de l’autre, physiquement et psychiquement, entière satisfaction. Elle n’avait pas à s’inquiéter.Cependant, Nadia me regardait parfois avec un air étrange. Elle fixait ma verge, la prenait en main, la caressait, lui donnait des bisous puis me demandait de la prendre et de lui faire connaître l’orgasme. Après les secousses de la jouissance, elle semblait comblée, ravie, mais comme étonnée. Et dans l’euphorie d’une nuit où elle avait fait quelques allers-retours au septième ciel, elle dévoila enfin la cause de son étonnement. Par des recherches, par des lectures, par des confidences, par l’écoute de certaines conversations, elle avait appris que la taille moyenne d’un pénis était d’environ de 13 à 16 centimètres. Elle tenait le mien entre ses doigts, embarrassée par mon regard qui surveillait sa façon de me mesurer ...
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