1. Le stagiaire que tout le monde voudrait


    Datte: 07/08/2019, Catégories: hh, jeunes, Collègues / Travail volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral

    ... dans mes bras… mais c’est pas possible… je pensais que t’étais à fond hétéro… Je ne peux plus me retenir. Je m’approche de lui, je pose mes bras sur ses épaules, je le regarde dans ses yeux si bleus, si pleins de candeur, si attirants. — Moi, je te trouve trop mignon… Mignon… je n’ai rien trouvé de plus original à lui dire… Peu importe… Et je le prends dans mes bras. Bon sang, il est là, contre moi, depuis cinq mois qu’il accapare mes pensées, il vient de m’avouer que je lui plaisais, la réciproque est vraie… Et nous nous entrelaçons comme des frères, et bientôt, comme des amants. L’excitation me gagne aussitôt et je sens bien que François est sans aucun doute aussi chaud que moi. Il enlève son polo et découvre son torse. Je suis aux anges. Je le vois ENFIN torse nu. Il est craquant, une fine ligne de poils bruns courts de son nombril vers… ce que je vais bientôt découvrir. Il est presque imberbe, quelques poils sur le plexus et de fins petits tétons, très petits mais qui semblent fermes. C’est délicieux. Il n’est pas musclé… comme j’aime… comme il faut. J’enlève à mon tour ma chemise. Je vois qu’il me déshabille du regard. Puis il en vient aux mains, il m’aide frénétiquement et arrache pratiquement cette satanée chemise. Ses mains parcourent mon torse, mon ventre, puis il revient sur mon torse, s’attarde sur mes tétons, bien plus larges que les siens. Il les effleure, découvrant leur circonférence du bout des doigts. Nous n’échangeons plus aucune parole, juste des soupirs. ...
    ... Je bande comme c’est pas possible. François enlève son pantalon, chaussures, chaussettes, tout en quelques secondes, enfin il ôte son caleçon et laisse découvrir une très belle queue fine et ultra raide. Putain ! sa bite semble plus longue que la mienne… Il cachait bien son jeu… Une fine touffe de poil décore son pubis, il doit se raser, en tous cas, c’est bien fait. Ça rappelle ses cheveux très bruns. Par contre, il a peu de poils sur les couilles. Tant mieux, je préfère… C’est d’autant plus excitant qu’elles sont bien pendantes et qu’elles ballottent à chacun de ses mouvements. Je ne peux m’empêcher de commenter. — Tu m’excites trop, tu sais ?— Tu as pas baisé depuis longtemps ? me répond-il.— Trop longtemps ? Et toi ?— Ça fait une éternité, je me suis branlé y a deux jours, c’est tout !— Moi hier… Et j’esquisse un sourire. Je le sens impatient, ses mains se dirigent vers ma ceinture, il m’aide, enfin, il m’incite à retirer mon pantalon pour se précipiter vers mon slip qui me fait mal. Ma bite est tellement raide qu’elle semble crier pour qu’on la libère de cette prison trop étroite. Enfin, il se met à hauteur de mon slip, et abaisse le tout avec violence. Ma queue se détend aussi sec et semble quasiment lui sauter au visage. C’est presque comique à voir. — Putain, elle est épaisse… commente-t-il. Je sais qu’il dit cela pour m’exciter encore plus… Mais bien que je bande à mort, ma queue est toujours moins longue que la sienne… Hummm. À mon avis, sa bite doit mesurer vingt ...