Offre-moi quelque chose de rare
Datte: 09/08/2019,
Catégories:
fh,
couple,
volupté,
Masturbation
légumes,
ecriv_f,
... sentis qu’il glissait son bras sous ma taille, m’obligeant à me cambrer et, de sa main libre, il prit la banane à moitié dénudée et l’enfonça dans mon vagin. À nouveau la sensation de plaisir fut violente, différente de celle de la courgette, la texture de la banane étant d’une douceur plus moelleuse, plus troublante. Il me branla longuement, s’arrêtant pour coller sa bouche à mon sexe, plongeant sa langue à la recherche du goût du fruit mélangé au mien, l’introduisant à nouveau dans mon vagin en de longs va-et-vient qui m’arrachaient des cris de plaisir, reprenant mon sexe dans sa bouche, puis glissant à nouveau la banane en moi, déchaîné, jusqu’à ce que je jouisse encore, longuement, profondément, hors d’atteinte. Quand je repris mes esprits, il était assis à côté de moi, le verre de champagne dans une main, la banane dans l’autre, et il la dégustait en me regardant, les yeux brillants, à demi fermés, un regard qui ressemblait à une provocation un peu salace. Je le laissai finir, et le verre et la banane, pendant que la tension retombait un peu en moi. Mais son regard et ses paroles ...
... m’excitaient. « Je vais te baiser comme tu le mérites, ma belle pute, je vais te rendre tout le plaisir que tu viens de me donner ; mais maintenant je vais gicler sur toi tout le foutre que tu as déclenché ». « Non, tu ne vas pas t’en tirer à si bon compte. Tu m’as demandé quelque chose de rare, on continue », lui dis-je en riant. Je le pris aux épaules, le renversai sur le lit, l’obligeant à se coucher à son tour. Son sexe tendu au maximum était décollé de son ventre, droit comme un mât, magnifique pieu que je n’osai pas toucher de peur qu’il n’explose à la moindre caresse. Je pris la peau de la banane qui était posée, vide, tout à côté, et délicatement, je recouvris la bite superbe, l’encapuchonnant dans cet étui inhabituel. Sous la douceur et la fraîcheur du contact, mon compagnon gémissait, criait, les yeux fermés, la tête ballant d’un côté et de l’autre, perdu dans un plaisir violent, et je n’eus besoin que de deux ou trois pressions sur l’enveloppe bananière qui emprisonnait son sexe pour le faire jouir, longuement, le corps arc-bouté, déversant son foutre dans l’étau soyeux que je serrais.