1. Au coeur du silence


    Datte: 09/08/2019, Catégories: ff, froid, parking, voyage, voiture, amour, Masturbation Oral jouet, aventure, roadmovie, amourpass,

    ... automobilistes esseulés en mal de charme féminin. Les titres sont évocateurs :Fellations dans la cabine,Partouzes en folie. Curieuse comme une chatte, je feuillette. Le type me regarde d’un drôle d’air, surpris qu’une dame s’intéresse à cette littérature. Charmantes demoiselles, bien peu vêtues. Des seins grand format, des sexes parfaitement épilés ; cela fourrage à toutes les pages. Gageons que ces hymnes à la sexualité débridée seront retirées au petit matin, histoire d’éviter qu’un bambin un peu fouineur, les découvrant, pose à ses parents quelques questions gênantes. Indiscrète et coquine, Valma lit par-dessus mon épaule lorsque je suis sur une page ayant pour cadre la cabine d’un camion ; on y voit une blonde sucer la verge d’un homme qui semble beaucoup aimer cela, et qui en retour lèche le sexe de la fille dans la position du soixante-neuf. J’entends murmurer à mon oreille : — Je sais faire ça très bien, moi aussi : tu verras. Je pose la revue et lui susurre : — Je n’en ai jamais douté.— Tu as faim ?— Non, merci. Dans ta voiture, je préfère éviter. Elle s’octroie un paquet de bonbons, le paie, et en ingurgite immédiatement deux. — Viens, dit-elle. Allons dehors. Elle m’emmène à l’écart, à l’abri du vent et des curieux éventuels, derrière le bâtiment. Elle me prend dans ses bras et m’embrasse sur les lèvres. — Tu aimes mon odeur ? me demande-t-elle.— Oui. Depuis le début, quand tu étais assise près de moi. Je suis très sensible à ça. Les gens m’attirent ou me ...
    ... repoussent par leurs odeurs corporelles.— Alors, profites-en. Je suis toute à toi. Afin de m’immerger dans ses odeurs, je plonge mon nez entre les seins, sous son grand manteau. Elle me surprend en baissant son pantalon. — Lèche-moi, s’il te plaît, là, juste entre les jambes. J’en ai très envie. Cela fait des jours que je mouille pour toi.— Ici ? Tu ne vas pas avoir froid ?— Pas avec toi. J’abaisse aussi sa culotte afin d’exaucer son souhait. Elle n’a vraiment peur de rien, et vit à fond ses désirs, sans limites. Je commence doucement par déposer quelques baisers au haut des cuisses, puis au bas de son ventre, et sur son abondante toison pubienne. Le mont-de-Vénus, souple et bombé, est sous mes lèvres. Les fragrances de son intimité m’enchantent. Je dois rêver. Alors, profitons au maximum de ce rêve. Ma langue s’insinue entres les grandes lèvres, à la recherche du petit bouton des délices. C’est là. Dégageons-le de son fourreau. Elle sursaute, respire profondément et tient ma tête entre ses mains. J’entends ses petits râles de plaisir. Elle est déjà en phase de plateau. Sa vulve suinte déjà en abondance des fluides du désir. J’aspire et je balaye, je lape et vrille et suçote.« Déguste cette gâterie et prends ton temps, Valma ma rousse, ma toute-douce, charmeuse et mystérieuse, nous ne sommes pas pressées. Personne ne m’attend. » Certes, j’ai un peu froid aux pieds, mais j’ai la tête au chaud contre son antre humide et doux. Je l’entends murmurer des choses dans sa langue, des mots ...
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