1. Une idée fixe redoutable


    Datte: 10/08/2019, Catégories: fh, hagé, fagée, couple, extracon, Collègues / Travail laid(e)s, bain, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral amourdura,

    ... plus étendue. Elle s’est montrée une amante enflammée ; toutefois, elle prenait le temps de m’expliquer comment je devais m’y prendre, à la fois pour la faire jouir, mais également pour que moi, j’y prenne un maximum de plaisir. Dans ces jeux d’été, nous avons échangé caresses, baisers et des pénétrations dans diverses positions. Elle me fit découvrir les délices du corps féminin : les nichons (« Athos et Porthos ») qu’elle avait particulièrement énormes, sa chatte très poilue (« forêt noire de Brocéliande ») et tous les détails de sa vulve (« connin » ou « garage à bites »). Sans aucune pudeur, elle me prodiguait des leçons d’anatomie ; pour employer une locution ancienne, une leçon de choses : activité d’éveil par l’observation de la nature. Ces cours, tout en étant très sensuels, étaient nécessaires pour un novice de mon espèce. Puis elle m’enseigna les jeux de mains et de bouche qui lui faisaient plaisir. Lorsque je l’ai pénétrée la première fois, elle n’a pas eu à me guider, ma « tête chercheuse » trouvant très bien le chemin du « pot à miel », mais une fois en elle, je ne savais pas comment bouger. Là encore, elle fut une charmante initiatrice. Par la suite, nos mouvements allaient de concert, elle tortillant du « prose » et moi allant et venant avec mon « zob » énergiquement dans sa « cheminée ». Nous nous sommes quittés à la fin de l’été sans rien nous promettre, surtout pas de rester fidèles l’un envers l’autre, ni même de nous revoir l’été suivant. Au contraire, ...
    ... puisqu’elle me dit : — À présent que tu sais comment faire jouir une femme, j’espère que tu vas en faire grimper aux rideaux plus d’une ; il y a tellement de filles qui sont mal baisées… Je ne te demande pas de partir en croisade pour délivrer les pauvrettes, mais au moins que tu réussisses celle que tu queuteras. C’est ainsi que lorsque j’ai rencontré Julie – j’étais libre – et que je l’ai courtisée sans avoir à rompre une romance en cours. Je me suis armé de patience pour apprivoiser cet oiseau sauvage qu’était Julie. Si j’allais trop vite, il risquait de s’envoler. Pourtant, mon but était de faire l’amour avec elle. Lorsque, après des semaines de doux et sensuels baisers et quelques jours d’attouchements discrets, elle m’a offert de lui caresser les seins qui étaient nus sous son vêtement, je savais que j’étais sur la bonne voie. Elle osait me montrer ses divins petits seins, elle m’autorisait à les embrasser. Ils étaient charmants et particulièrement sensibles. Elle semblait apprécier les traitements que je faisais subir à ses lolos qui étaient tout en rondeur, plus petits que ceux de Sabrina, mais ils étaient bien plus fermes, presque arrogants, alors que ceux de mon ancienne maîtresse avaient tendance à s’avachir malgré son jeune âge. Je décidai de précipiter les choses car j’en voulais plus, et après plusieurs jours de pratique de ces attouchements mammaires, je lui dis : — Julie, la prochaine fois, j’aimerais que tu fasses pareille avec ta culotte.— Qu’est-ce que tu veux ...
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