1. Une idée fixe redoutable


    Datte: 10/08/2019, Catégories: fh, hagé, fagée, couple, extracon, Collègues / Travail laid(e)s, bain, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral amourdura,

    Un récit à deux voix de l’amour d’une jeune fille timide et réservée et d’un jeune homme qui ne veut pas la brusquer. Ils devraient méditer le proverbe russe : « Si on fait l’amour, on meurt ; si on ne le fait pas, on meurt aussi. Mieux vaut faire l’amour et mourir ensuite. » — Julie ?— Eh oui, Fabrice. C’est bien moi. Tu me reconnais depuis tout ce temps ?— Oui, naturellement. Je ne t’ai jamais oubliée.— Ne me dis pas que je n’ai pas changé.— Tout comme moi, je ne le nie pas. Cela fait combien de temps ?— Vingt-cinq ans.— Vingt-cinq ans ? Réellement ? Julie raconte Mon éducation catholique et la rigueur de mes parents ne me laissaient que trop peu de liberté pour me permettre de m’intéresser aux garçons. De même, je me retenais de toucher mon corps, ma religion disant que c’était mal. Pourtant à l’âge de dix-huit ans, n’y tenant plus, j’ai commencé à me caresser les seins, d’abord épisodiquement, puis quotidiennement, ne pouvant résister à la tentation. Après les seins qui durcissaient sous mes caresses, je partis à la découverte d’autres zones de mon corps. Je ne connaissais pratiquement rien de la sexualité, ou le minimum. On n’ignore pas comment on fait des enfants ou comment sont faits les hommes et les femmes, mais on ne sait rien sur la jouissance, sur la manière de se faire du bien. On apprend de façon empirique, découvrant le plaisir de tel ou tel attouchement par curiosité ou par hasard. Par exemple, mes mains frottant les poils de mon pubis, frôlant ma vulve, ...
    ... relevaient d’une exploration volontaire pour prendre conscience de mon corps. Par contre, c’est fortuitement que je me suis aperçu que le pommeau de la douche, plaqué sur mon sexe, pouvait me procurer une jouissance extrême. La première fois, je crus même défaillir. Dans ces attouchements, ma préférence revenait toujours à mes nichons que je caressais, pelotais, palpais, chatouillais, pétrissais, lutinais. Ils étaient devenus assez volumineux, sans être gigantesques. Oh, qu’elles étaient délicieuses, ces caresses indiscrètes et sensuelles ! Je prenais les mamelons entre deux doigts, je les faisais rouler, je pressais jusqu’à ce que la douleur soit remplacée par la jouissance. Les seules fois où je refrénais mes palpations, c’est lorsque je dormais chez des copines et que nous occupions la même chambre, voire le même lit. Avec elles, je n’aurais jamais osé parler de mes petits plaisirs solitaires. Peut-être en faisaient-elles autant que moi, mais je ne voulais pas risquer de les choquer si cela n’était pas le cas. Les quelques petits copains que j’ai eus ne m’apportaient que peu de contentement. Il y avait comme une sensation de trop peu lorsqu’ils m’embrassaient ; pour autant, je ne voulais pas me donner au premier venu. Jusqu’au jour où j’ai rencontré Fabrice, une connaissance d’amis, qui est devenu rapidement un copain. Nous avons échangé un délicieux baiser et il fut dès ce moment mon petit ami. J’avais vingt-trois ans, encore pucelle, et lui en avait vingt-cinq, avec ...
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