1. clauques et fouet


    Datte: 11/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois

    Histoire d’une découverteUne filleEntre 15 et 17, comme je l’ai dit, j’étais plutôt amoureuse d’une fille. Après l’épisode des vacances de mes 15 ans, j’ai rencontré Ingrid. Grande blonde, costaude mais très belle.Nous « étudiions » le mercredi après-midi dans son appartement, ses parents rentrant assez tard.Nous avions fait l’amour plusieurs fois. Un mercredi, nous avons goûté à une nouveauté. Elle m’a dit de me déshabiller. Elle est restée vêtue. Comme je m’étonnais, elle m’a dit que quand on aurait fini le boulot, il serait encore temps pour elle. Je suis restée devant elle, toute nue. C’est très troublant de se promener nue devant quelqu’un de vêtu. J’attendais le moment où elle se déshabillerait et où nous pourrions faire l’amour. Elle m’a touché la chatte sans prévenir en me disant que j’étais trempée et qu’elle allait me calmer. Elle est restée debout à côté de moi couchée sur le divan et m’a caressée. J’ai joui, honteuse d’être ainsi traitée comme un a****l en chaleur.Chaque semaine, elle devenait plus autoritaire. Je jeu de nue et habillée est devenu la règle. J’ai été obligée de me caresser devant elle qui travaillait à table.Un jour, j’étais allongée sur le ventre en train de lire. Elle est arrivée et sans rien dire m’a flanqué une claque violente sur les fesses. J’ai forcément sursauté. Elle m’a dit qu’elle avait envie de me fesser. Elle l’a fait. Claque après claque, elle tapait fort. Elle a arrêté en disant qu’elle avait mal à la main. Je serais morte plutôt que ...
    ... d’avouer que j’aimais. Quand elle est revenue avec une planche à pain, j’ai su que la séance n’était pas finie. Elle a frappé tant et plus. Je me tordais sur le divan en pleurant mais elle continuait. Elle m’a dit de me caresser pendant qu’elle me fessait. J’ai glissé la main sous moi et j’ai pincé le clitoris. Une éternité plus tard, elle a arrêté. Impossible de m’asseoir tellement j’avais les fesses en feu.Le mercredi suivant, à peine nue, elle m’a dit qu’elle avait envie de me gifler. J’ai du mettre les mains derrière le dos. Je m’attendais à la première gifle mais elle m’a dit que l’on verrait les marques. Sa main est partie et c’est un sein qui a reçu la gifle. La séance a commencé : de droite à gauche, de bas en haut, de haut en bas, du plat, du revers, de la main droite, de la main gauche. Mes seins volaient dans tous les sens. Au début, on sent la gifle, plus tard, la douleur devient générale et lancinante. Quand elle arrêté, je n’en pouvais plus. J’avais des seins rouges écarlates, on voyait les traces de ses doigts, de ses bagues.Nous sommes vues encore quelque temps mais j’ai pris mes distances devant la montée de sa v******e. Je ne pouvais plus la toucher et me menaçait des pires tourments.Ciao bella.Un hommeComme je l’ai dit, j’ai fait l’amour la première fois avec Luc. Pendant toute notre relation, je venais chez lui le samedi. Il était un peu fâché que je me déshabille en rentrant comme si je ne venais que pour me faire sauter. Ça m’excitait de me balader dans ...
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