clauques et fouet
Datte: 11/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
... d’une ligne rouge. Je me sens coupée en deux. Ça fait très mal. Il me laisse un moment (1 minute m’a-t-il dit après). Deuxième, juste un peu plus haut, même résultat. Troisième, sur les cuisses, en frappant plus près, donc en laissant le fouet s’enrouler jusqu’entre les cuisses, à la limite de la vulve. Il change de place. Mon ventre sous le nombril est touché, mon ventre au dessus du nombril est touché. Je me vois dans le miroir et je suis fière de moi, fière d’aller au bout.Le premier coup sur la poitrine a failli me faire changer d’avis. C’est atroce. Il a encore visé mes seins que j’aime tant. Curieusement, je les trouvais beaux ainsi marqués.Le supplice a duré une heure. 60 minutes, 60 coups.Il m’a enlevé le bâillon. Il m’a fait boire un grand verre d’eau bien fraîche et m’a laissé respirer.La question est arrivée : stop ou encore ? Je ne voulais pas céder à l’envie d’arrêter. Encore.Il m’a bandé les yeux et m’a dit qu’il continuerait jusqu’à la limite de mes forces. Je pouvais crier, pleurer, supplier. En français, tant que je garderais conscience. C’est facile à vérifier, je ne me plaindrais plus…Il a commencé, en tournant autour de moi, du droit, du revers. Arquée d’un coup sur les omoplates, j’offrais mes seins au ...
... suivant. Pliée par le coup, j’offrais mes fesses. Belote, rebelote,… .Les flancs, les cuisses, le dos, tout y passait. J’avais la chance d’avoir les jambes serrées. Le pubis prenait des coups mais le sexe restait intact.Tout à coup, j’ai senti qu’il libérait mes chevilles. Avant d’avoir compris, il a relevé ma jambe sur le côté quasi en grand écart. Il l’a ainsi attachée. J’ai frémis à l’idée ce qui allait arriver. Il a commencé à viser l’intérieur des cuisses, depuis les genoux, remontant lentement vers mon sexe maintenant exposé. Il avait du prendre son fouet plus court pour arriver à la précision. Debout derrière moi, il a frappé une première fois de bas en haut, entre mes jambes. La mèche a terminé sa course sur mon ventre. Le coup suivant, la mèche est arrivée en plein sur la fente. Il a recommencé, je ne sais pas combien de fois, je n’étais plus là pour sentir.J’ai émergé du brouillard, les yeux dégagés du bandeau. Tout mon corps brulait. Il m’a embrassée. Il m’a dit qu’il m’aimait. Je lui ai répondu que moi aussi.J’ai regardé mon corps vraiment martyrisé et j’étais heureuse et fière de moi. Il avait l’air un peu gêné du résultat. Je n’ai jamais vu ses yeux aussi beaux que quand je lui ai demandé s’il voulait bien recommencer.