Fin de semaine
Datte: 12/08/2019,
Catégories:
f,
cérébral,
Masturbation
fdanus,
Caroline soupira profondément et ferma la porte derrière elle. Le week-end était enfin arrivé après une semaine qui s’était étirée sans fin. Elle posa son attaché-case, oubliant pour un temps les dossiers qui s’y trouvaient et qu’elle devrait impérativement relire d’ici lundi. Tout cela pouvait attendre. Elle avait besoin d’un petit bisou, d’une caresse… et plus si affinité ! Pendant tout le trajet en métro depuis son bureau, son esprit s’était peu à peu laissé envahir par une pensée lancinante faite d’images mentales torrides qui l’avaient rendue si émue que ses sous-vêtements étaient tout humides à son retour au bercail. Quoiqu’elle fasse, dès qu’elle fermait les yeux, l’image d’Alex se formait, irradiant son esprit de son chaud sourire, ses yeux bleus et sa présence. Elle sentait sa langue frôler son visage, descendre le long de ses seins, s’attarder sur un téton et toujours plus bas, arriver sur le triangle magique. Elle ressentait presque physiquement sa langue partageant ses deux grandes lèvres, avant de se frayer un chemin vers son clitoris en émoi. Oh oui, Caroline avait besoin de sexe et maintenant… — Alex ? appela-t-elle, se demandant pourquoi personne n’était encore venu lui sauter au cou. Pas de réponse. La voiture d’Alex était pourtant dans l’allée mais la maison semblait vide. — Tu es là, mon amour ? Un post-it collé sur le téléphone attira son regard. Elle le prit et grogna de frustration. Le père d’Alex, Jean, était passé et ils étaient partis pour ...
... l’après-midi sur les berges de l’étang voisin à taquiner le goujon ! Ils prévoyaient d’être de retour vers 18h, avec le repas de ce soir. Un rapide coup d’œil à sa montre lui indiqua qu’il était déjà 17h passé. Rien à faire, cela serait bien difficile d’avoir ce que toutes les fibres de son corps réclamaient : caresses, plaisir et … un orgasme d’enfer ! Un autre jour, la visite de Jean et la perspective d’une bonne soirée au coin du feu après un repas convivial, l’aurait emplie de joie. Elle adorait la compagnie de son beau-père, mais pourquoi était-il venu AUJOURD’HUI ? Aujourd’hui, alors que Caroline n’avait qu’une idée en tête : jouir sous les caresses d’Alex… Elle monta dans leur chambre et quitta sa tenue de travail : petit tailleur et chemisier. Enfin libre ! Mais au lieu de mettre une tenue plus adéquate, elle resta à déambuler nue dans la chambre. « Bon sang, c’est pas possible », dit-elle à haute voix, « je DOIS jouir ». Elle prit la pose devant le psyché et détailla cette petite blonde à cheveux courts, à la peau claire et d’allure juvénile, qu’elle avait sous les yeux. Son corps souple et ferme reflétait sans excès ses efforts réguliers à la salle de gymnastique. Ses seins étaient bien dessinés, ni trop, ni trop peu volumineux, comme les aimait Alex. Caroline les soupesa doucement puis les rapprocha, créant ainsi l’illusion d’un décolleté vertigineux entre ses mains. Par des mouvements langoureux, elle entreprit un massage de ses globes souples et chauds, puis pinça ...