1. Fin de semaine


    Datte: 12/08/2019, Catégories: f, cérébral, Masturbation fdanus,

    ... roula sur le côté et releva sa jambe gauche pour pouvoir atteindre son anus. Celui-ci, déjà largement lubrifié par les liqueurs s’échappant de son sexe, n’offrit aucune résistance à la pression de son doigt. Grognant de plaisir, elle ressentit à l’extrême cette douce caresse, alternant pénétration et excitation de l’anneau anal. Sa respiration s’accéléra. Le sang battait de plus en plus fort dans sa tête et des ondes de plaisir balayaient son corps à une fréquence en croissance exponentielle. Elle cria sourdement lorsque l’orgasme la prit de plein fouet, tétanisant tous les muscles de son corps. Elle sentit son anus garrotter son doigt tandis que, de l’autre côté, le flot de cyprine inondait sa main. Pendant d’interminables secondes, les vagues de plaisir déferlèrent les unes après les autres, sans qu’elle puisse contrôler ses mouvements désordonnés. Lorsqu’elle reprit enfin pied sur terre, elle retira ses doigts de ses orifices et les huma avec délice. Elle aimait ce mélange de senteurs si évocatrices. Elle essuya ses mains sur sa poitrine et demeura de longues minutes immobile, son odorat en émoi. Ivre de ses parfums, son esprit divagua à nouveau vers l’objet de ses désirs. Elle recommença à jouer avec ses tétons, toujours insatisfaite. — Oh Alex, soupira-t-elle, comme j’aimerais que tu sois là ! Vérifiant que ses tétons étaient toujours dressés, elle s’allongea sur le ventre et remonta ses fesses. Elle se focalisa sur son clitoris, cherchant à apaiser enfin le feu qui la ...
    ... consumait. Elle avait déjà enchaîné un second orgasme en un intervalle de temps si court mais il n’était en général qu’une réplique plus faible du premier. Aujourd’hui, elle semblait sans limite, grognant et haletant sous la montée d’une nouvelle extase. Les ondes de plaisir l’assaillaient sans relâche, activées par le mouvement frénétique de son doigt sur son clitoris. Toucher, vue, odorat et ouïe, pratiquement tous ses sens étaient saturés par les stimulations. Une odeur de femelle en chaleur particulièrement aphrodisiaque pour elle envahissait la chambre, provenant de ses fluides intimes qui imbibaient désormais ses draps. Caroline était bien trop loin pour s’inquiéter de ce petit détail. Les yeux mi-clos, elle imaginait plutôt la langue d’Alex sur son clitoris, la torturant sans relâche en l’amenant en des niveaux de plaisir jamais encore atteints. Très vite, elle ressentit les prémices d’un orgasme dévastateur. Elle eut, dans le miroir, la vision furtive de son corps rougi sous l’effort et dégoulinant de sueur, ce qui déclencha un long feulement rauque. Elle y était… — Oh Alex ! !, cria-t-elle lorsque le premier spasme la fracassa, Alex, où es-tu ?. Elle s’abîma dans un océan de plaisir, assaillie par des visions sans fin de scènes d’orgie dans lesquelles elle était le centre de toutes les attentions. Elle gémit longuement, son corps continuant à alterner les contractions et les relâchements au gré du plaisir qui la quittait petit à petit. Plusieurs minutes s’écoulèrent ...